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P. 211 à propos de Marc Marc, seigneur de La Vieuville et de Saint-Cast, y fut baptisé le 18 févier 1613 et y mourut le 18 juillet 1649. Son épouse, Isabeau de La Lande de Calan, décédée en mars 1662, lui donna trois enfants de plus que ceux indiqués dans l'ouvrage:
Page 213 à propos de Jean Gouyon de Beaucorps Jean ne fut qu'ondoyé le 6 janvier 1644. Il fut baptisé à Saint-Cast le 19 novembre 1645. D'après un document de partage entre Henri-Urbain-Hyacinthe, son fils, et ses frères et sœurs survivants, Jean Gouyon de Beaucorps n'est pas mort en 1673, mais au Vaumeloysel le 23 décembre 1700. à la mort du père de Charles Gouyon du Vaumeloysel, nous dit Monsieur Alain Pichot du Mezeray, Georges, héritier principal et noble, est obligé de vendre la seigneurie du Vaumeloysel en 1625, à la suite d'un procès intenté par Toussaint des Nos qui voulait récupérer ce bien de famille et dont le fils, Michel revendit la seigneurie en 1672 à Mathurin de La Villéon qui la céda en 1684 à Jean Amproux, seigneur du Pontprettin. C'est alors que Jean Gouyon, seigneur du Dieudy, intenta un procès en retrait lignager qu'il gagna deux ans plus tard. Les Gouyon récupérèrent ainsi le Vaumeloysel 6 février 1686 et non en 1684. Cet épisode d'une soixantaine d'année est la seule période durant laquelle le Vaumeloysel a été vendu et revendu; sinon, la dévolution s'est toujours faite depuis le XIIIe siècle par héritage. La note "4" en bas de page doit être rectifiée en conséquence, les Amproux n'ayant pu posséder le Vaumeloysel après Jacques Gouyon, fils de Jean. Son épouse et cousine, Catherine Gouyon, morte au Vauméloysel en 1706, lui donna neuf et non pas cinq enfants (Généalogie Trémaudan). (Françoise, qui épousa Julien Chappedelaine appartient à la génération précédente voir ci-dessus) :
Page 214 à propos de Jacques Gouyon de Beaucorps Il est né à Saint-Pôtan le 26 février 1675 et mort à Ruca le 27 juillet 1739. M. Alain Pichot du Mezeray nous dit qu'il se qualifie de seigneur du Vaumeloysel, mais y a très peu habité, n'étant pas l'héritier principal. Il y a habité jusqu'en 1706, date du décès de sa mère Catherine Gouyon (de la branche de Thaumatz), plus précisément de 1702, date de son mariage avec Anne-Françoise-Jacquemine Hamon, à 1706 et durant cette période il a fait sculpter en pierre les armoiries conjointes des Gouyon et des Hamon, que l'on trouve aujourd'hui sur le haute cheminée du Vaumeloysel. Par la suite, lorsque son frère aîné s'installe au Vaumeloysel en 1706, il loue pour six ans le manoir de La Pichardais en Créhen à Bernard de Courville, puis en 1711, le manoir de la Mettrie-Martin (olim La Mettrie-Gouyon, nunc Monchoix), en Pluduno, appartenant aux Bédée [voir page 376]. Au terme du bail, il se réfugie à la ferme de Saint-Eniguet (nunc en N.-D. du Guildo) que lui loue son frère aîné. Après des années de plaintes, Henry-Urbain-Hyacinthe rachète par retrait lignager le manoir du Bois-Rouault qu'il vend à Jacques en 1729. C'est là que Jacques et son épouse Anne-Françoise-Jacquemine Hamon vont finir leur vie. Son épouse lui donna dix enfants (et non pas trois) :
Page 215 à propos de François-René Gouyon François-René, chevalier, seigneur du Vaumeloysel, n'est pas né au Vaumeloysel, mais au manoir de La Pichardais, en Créhen [M. Alain Pichot du Mezeray]. François-René épousa à Chantepie le 15 avril 1738 Jeanne-Marie Hindré, fille de Jean Hindré, seigneur du Chêne, et de Catherine Jousselin née le 17 août 1712 à Rennes et morte le 5 décembre 1768 à Chantepie. Les époux habitèrent au manoir de La Grande Porte en Chantepie. Jeanne-Marie était née à Rennes en 1712 et mourut à Chantepie en 1768. François-René resta veuf pendant 18 ans et épousa en 1786 Anne Robert, née à Saint-Herblon le 12 juillet 1736 et morte sans postérité. Il hérita du Vaumeloysel en 1783 de son frère Charles-Ignace-Jacques-Jean. Par testament il laissa tous ses biens en viager à son épouse, de vingt ans sa cadette. Anne-Robert mourut au Vaumeloysel le 26 septembre 1814 à l'âge de 78 ans. L'anecdote sur Adèle Stévenot, page 216, au premier paragraphe, depuis "Pendant la révolution" jusqu'à la fin du paragraphe concerne Anne Robert, deuxième épouse de François-René Gouyon, et non pas Renée-Thérèse Le Gonidec de Keramel qui avait émigré. De sa première épouse, il eut cinq (et non pas deux) enfants:
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Erratum à propos de Renée-Thérèse Le Gonidec de Keramel L'anecdote sur Adèle Stévenot, au premier paragraphe, depuis "Pendant la révolution" jusqu'à la fin du paragraphe concerne Anne Robert, deuxième épouse de François-René Gouyon (page 215), et non pas Renée-Thérèse Le Gonidec de Keramel qui avait émigré à Jersey.
Page 217 Erratum, Note 12 Lire : voir annexe III (et non pas IV).
09-10-07
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