de Beaufort
 

 

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Branche éteinte, issue des Gouyon de Saint-Loyal

 

Joseph-Bruno (1690-1777)

Luc-Jean (1725-1794)

Louis-Joseph-Marie (1784-1861)

Luc-Félix-Alexandre-Victor

Gustave-Marie (1818-1890)

Xavier-Louis-Marie-Félix (1854-1945)

 

 

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Erratum note 17

Pour le fait d'absence de déclaration lors de l'hébergement de Carbon, Aubine-Louise ne fut libérée que le 14 brumaire an X (5 novembre 1801). Elle fit donc six mois de prison après jugement. Ses deux filles religieuses de Saint-Thomas (Angélique-Marie-Françoise et Reine-Marie-Aubine) durent faire un mois.

 

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à propos de Pélagie-Marie-Félicité Gouyon de Beaufort

On lira avec intérêt dans le N° 92 (deuxième semestre 2007) de la revue "Le Rouget", bulletin de la Société populaire du pays de Dol, le très intéressant article (p. 34) de Dominique Cortyl sur Les pérégrinations du chevalier Maurice du Couëssin.

Maurice-Julien de Couëssin du Boisriou "après plus de 15 ans de navigation autour du monde (1785-1803) et quelques années de campagne dans les armées de Napoléon (1808*1814), devint en 1821, Messager d'État à la Chambre des Pairs, fonction qu'il occupa jusqu'à sa mort.

Il est enterré dans l'église de Carfantain, où son enfeu est toujours conservé."

Erratum

Maurice de Couëssin et Pélagie Gouyon n'eurent pas deux mais sept enfants :

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Joseph, né à Saint-Malo le 17 germinal an XII (7 avril 1804), probablement mort jeune

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Pélagie, née à Saint-Malo le 12 floréal an XIII (2 mai 1805)

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Aglaë, née à Saint-Malo la 8 décembre 1806

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François-Marie-Maurice, né à Saint-Malo le 25 ou 27 mars 1809, qui épousa Caroline-Marie-Louise de France

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Louise, née à Saint-Malo le 25 août 1812

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Marie-Thérèse, née à Saint-Malo le 27 décembre 1815

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Charles-Vincent-Marie, né à Saint-Malo (?) le 19 juillet 1817 qui épousa Marie-Augustine-Sainte d'Andigné de Mayneuf.

On peut penser qu'entre 1803 et 1808 Maurice de Couëssin s'occupa de de reprendre possession de ses biens et de ceux de Pélagie-Marie-Félicité Gouyon, son épouse. Auparavant, le 19 frimaire an VIII (10 décembre 1799) un arrêté avait décrété que quatre des enfants de Luc-Jean Gouyon (père de Pélagie) étaient prévenus d'émigration et l'année suivante, le 13 prairial (2 juin 1801) un autre arrêté déclare que l'inscription sur la liste des émigrés n'est pas applicable aux trois filles de Luc-Jean. On autorise en 1806 les héritiers Gouyon à désigner eux-mêmes les biens qui reviendraient au domaine public, décision sur laquelle l'administration est revenue en 1810. C'est finalement un décret du 16 octobre 1814, sous la Restauration, qui va leur permettre de rentrer dans leurs droits.

 

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D'autres photographies (clichés Robert de Goyon) du manoir de Kerbernez, en Plomelin/Ploveilh (cliquez sur les photos pour les agrandir).

 

 

 

 

 

 

 

 

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08-08-04