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Des découvertes
surprenantes ! (23/10/2000) |
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LAMENTABLE ! |
195
)
Le 30/05/2000 : la
suite
Je
passerai sous silence certains faits mineurs intervenus depuis,
notamment un entretien entre mon syndic et mon avocat. |
196)
Le 06/06/2000 : lettre
de Maître VOIVRET à Maître GANGLOFF
Maître
VOIVRET écrit à Maître GANGLOFF en ces termes :
"
Mon cher Maître,
"
Je suis intervenu au soutien des intérêts de M. DOUCHET ancien huissier
de justice que vous représentez ès-qualité de mandataire liquidateur.
"
Dès le début de notre entretien, vous avez tenu à me faire remarquer
l'inertie toute particulière que vous oppose la chambre départementale
des huissiers de la Moselle, vous empêchant systématiquement d'exercer
vos fonctions.
"
De la même façon, les anciens administrateurs provisoires de l'étude de
Maître DOUCHET vous opposent une absence de réponse notamment sur la
créance de 100 000 francs que Maître DOUCHET a régulièrement contre
eux.
"
En réponse, je vous ai fait valoir que mon intervention avait deux buts
essentiels à savoir :
-
la mise à disponibilité du grand livre de 1995 au profit de M. DOUCHET
qui en a un besoin impérieux pour l"opposer légitimement à la
taxation d'office "d'OPPORTUNITE" dont il a fait l'objet de la
part de l'administration fiscale...
Il
s'agit d'une pièce essentielle qui a d'autant plus d'importance qu'au
début mai 1995, les contrôleurs de l'étude signent le quitus valant
approbation des comptes et que fin mai 1995, la procédure civile de
discipline est engagée... jusqu'à la condamnation pénale avec
emprisonnement.
-
la lettre du 31 janvier 2000 adressée par la chambre sous la signature de
son président aux services du Parquet faisant état de la nécessaire
intervention du mandataire judiciaire pour mettre fin aux revendications
de réparations réclamées par Maître DOUCHET.
"
Au cours de l'entretien, vous m'avez fait valoir qu'il n'était pas
acceptable que des organismes institutionnels représentant les huissiers
de justice, auxiliaires et officiers ministériels, opposent silences et
inertie à vos demandes légitimes d'information et de communication de
pièces.
"
Je partage votre sentiment.
"
C'est pourquoi, je vous ai proposé de m'accompagner dans une démarche
auprès du Procureur Général près la Cour d'Appel de METZ.
"
Vous avez accepté cette proposition aussitôt en me précisant qu'au cas
où un entretien nous serait accordé, vous étiez habituellement
indisponible le mercredi et le jeudi matin.
"
Compte tenu de l'importance de notre entrevue, je tenais à en prendre
acte par écrit.
"
Dans la mesure où vous avez pris la précaution d'informer le parquet
général de toutes vos démarches, vous comprendrez que je pratique de la
même façon en communiquant le double de cette lettre.
"
Je reste .... "
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197
)
Le 06/06/2000 : lettre
de Maître VOIVRET au Procureur Général de METZ
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198)
Le 17/06/2000 : une
réponse qui ne se fait pas attendre
Le
procureur général fixe rendez-vous pour le 21 juin 2000 |
199)
Le 21/06/2000 : note
d'entretien au parquet général du 21/06/2000
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200)
Le 27/06/2000 : lettre
du Procureur Général à Me VOIVRET (Les
premières surprises !
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201)
Le 30/06/2000 : lettre
de Me VOIVRET
Ce
dernier me demande de lui faire part de mes observations à la suite de la
lettre du Procureur Général.
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202)
Le 27/06/2000 : mes
observations
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Maître,
Je
vous prie de trouver ci après mes observations concernent la lettre citée
en référence.
1°
Observations sur la lettre elle-même. |
a)
Cassette informatique remise par Me CHARPENTIER aux Inspecteurs de la P.J.
le 25 mai 1995 (scellé n°1 du PV 153/95) |
Le
25 mai 1995 j’étais donc encore titulaire de l’étude, et le 29 mai
1995, après le contrôle annuel de laChambre, cette dernière, par
l’intermédiaire des contrôleurs, m’a donné quitus en signant les
balances de comptabilité tirées le jour même. Je n’ai donc fait, ni
fait faire, à aucun moment une cassette informatique de sauvegarde de
l’ensemble des dossiers de l’étude avec leur gestion (donc
comptabilité clients), ni de la comptabilité générale, pour la
remettre à qui que ce soit.
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Il est alors bon
de faire remarquer que si cette cassette a été remise le 25 mai 1995 aux
inspecteurs de la P.J., c’est que la copie a été effectuée à une
date antérieure, et par qui ?,
à mon insu, dans le but de vouloir me nuire, puisque quitus m’a
été donné le 29 mai. Cela représente
donc un vol et un viol.
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Il serait alors intéressant
de pouvoir obtenir une copie du PV 153/95 sans attirer l’attention
des détenteurs des pièces pour éviter que ces pièces ne se perdent
entre temps ! Et contrôler ainsi la véracité de la date et en
tirer les conclusions qui s’imposent, car dans le cas où la date
de remise serait bien le 25 mai 1995, je pourrais alors me retourner
encore maintenant contre le voleur et le receleur. Par ailleurs, l’enquête
aurait donc débuté avant même le contrôle de la Chambre, et avant même
que l’ordonnance de référé du 19 juillet 1995 ne prononce ma
suspension immédiate, cela reste donc à éclaircir.
|
b) Deuxième cassette intitulée
« sauvegarde complète du 01/08/95 » (scellé n°2 du PV
153/7/95). |
Je
rappelle que j’ai été suspendu le 19 juillet 1995, et qu’en conséquence
toute intervention sur la comptabilité, et tout maquillage ont été
possibles pendant les quinze jours qui ont suivi. |
c) Edition en liste de l’historique des comptes de l’étude
DOUCHET (scellés 5,6 et 7 du PV 153/95). Scellés assez volumineux
comprennent chacun des centaines de feuillets. |
Compulser ces scellés ne
présente aucun intérêt dans la mesure où ils représentent la gestion
de chacun des dossiers de l’étude et ne donnent pas la globalisation
des sommes dues à l’étude sous forme de tableaux.
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d) Proposition
faite pour l’ouverture des scellés et remise des cassettes
informatiques à un technicien pour permettre leur édition complète
de leur contenu.
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Il est bon de remarquer
qu’en aucune façon nous n’aurons jamais les cassettes en mains et que
nous ne pourrons donc en contrôler leurs dates. De plus il saute aux yeux
que le coût de l’opération serait dissuasif, et que par ailleurs je ne
sais si cela servirait à quelque chose car je ne me souviens plus si
l’on peut tirer le grand livre en dehors de la procédure de clôture de
compte annuelle, et qui plus est partiellement. Il faut rappeler que le
grand livre est édité automatiquement lors de la clôture comptable de
fin d’année et qu’il a obligatoirement été tiré pour toute l’année
1995, mais que le président CHARPENTIER ne tient pas à ce que ce grand
livre soit entre nos mains. |
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2°
Observations sur le compte rendu de réunion avec le parquet du 21 juin
2000.
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a)
1er Problème
soulevé et sa résolution.
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Je me permets de rappeler
que la restitution du produit de la vente (9 690,-F) ne représente que
3,88 % de l’indemnisation que j‘ai réclamé pour ce poste (
250.000,-F. majorés des intérêts légaux depuis le 12.03.1997) dans ma
lettre du 10 septembre 1999 au Procureur Général. |
Dans cette lettre figurait
l’énumération de ce qui a été vendu : mobiliers, matériels et
articles de bureau, tous les recueils composant ma documentation technique
( Juris classeur Procédure de 1 à
9, Encyclopédie des Huissiers de 1 à 7, 6 Juris classeurs Bail à Loyer,
18 Codes & Lois, 10 livres de Jurisprudence Française, etc.. toute
cette documentation vendue pour 420,- F. suivant P.V. de vente à un soit
disant « pékin » bigrement intéressé). |
Il est en effet trop
facile de se débarrasser de la réparation d’une faute commise
sciemment au regard des règles de base qui régissent la profession
d’huissier de justice, en ne versant que le montant d’une vente bradée
effectuée en toute hâte, au lieu de la valeur d’usage réelle des
produits vendus. |
b)
2ème Problème soulevé et sa résolution. |
Les
assertions du Président CHARPENTIER sont en partie vraies en ce qui
concerne la lecture du disque informatique, mais ces dernières deviennent
floues lorsqu’il affirme qu’une cassette de sauvegarde a été saisie
par la P.J. lors de ses investigations, qui devrait se trouver dans les
scellés ! La résolution qui suit reste donc aléatoire et la
proposition de faire éditer le grand livre avec cette cassette est une
proposition dissuasive. |
Je rappelle à
nouveau à ce sujet que la clôture comptable de l’année 1995
est une procédure automatique, et que cette procédure
automatique édite d’office le Grand Livre de toute l’année écoulée.
Il y aurait alors
lieu de réclamer un contrôle fiscal de la Gestion de l’administration
provisoire portant sur le deuxième semestre de 1995. L’administrateur
provisoire serait bien obligé de présenter le Grand Livre pour ne pas
faire l’objet d’un redressement comme j’en ai fait l’objet. |
Pourquoi
2 poids et 2 mesures ?
La réponse en ce
qui concerne les prélèvements de l’administration fiscale sur le
salaire de mon épouse
ne me satisfont pas. |
En effet la requête de
l’AREPS du 20 mars 2000 à Madame le Garde des Sceaux, et transmise à
Monsieur le Procureur Général pour qu’elle soit instruite, comportait
la question suivante : |
« … La
question que nous vous posons à ce sujet Madame le Garde des Sceaux :
comment se fait-il qu’une décision de justice n’ait aucun effet vis
à vis de l’administration fiscale, et comment peut-on permettre une
situation aussi ubuesque ? … ». |
Et personne ne répond, et
la liberté d’action est laissée à l’état dans l’état qu’est
l’administration fiscale. |
Du
fait que l’ATD a été délivré et mis en place dans des conditions illégales,
notamment une faute professionnelle du Trésorier de HAYANGE, je pense
qu’il y aurait lieu de poursuivre ce dernier pour concussion (article
432-10 du Code Pénal), puisque qu’il continue de prélever en sachant
qu’une décision de justice m’exonère de régler la dette fiscale
pour laquelle lesdits prélèvements continuent d’être effectués. |
a)
3ème
Problème soulevé et sa résolution.
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Les
assertions du président CHARPENTIER n’ont aucune valeur.
Il
rappelle insidieusement que les frais acquis hors taxes restant dus à l’étude
à la date de ma suspension comprennent des frais illégalement demandés à
la clientèle, qui ont fait
l’objet
des poursuites pénales.
1°
il oublie de dire que ces frais illégalement perçus, pour lesquels j’ai
été poursuivis,
n’ont
jamais fait l’objet de preuves ( le soit disant dossier bleu contenant le
rapport de
l’expertise
de plus de 6000 dossiers effectuée par la profession en quinze jours, n’a
pas
été
trouvé dans le dossier d’accusation par le Président de la Cour d’Appel
lors de mon
procès),
2°
puisqu’il avance de tels arguments, qu’il apporte donc la preuve que
tous les frais des
dossiers
considérés ont été rectifiés, notamment pour ceux dont les frais
restent à
encaisser.
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Je
demande donc qu’il soit produit :
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1°
le listing actuel de tous les frais acquis restant dus dans chaque dossier
donnant la globalisation de tous les frais restant dus à l’étude.
2°
le listing de tous les dossiers dont les frais ont été récupérés.
3°
le listing de tous les dossiers ayant été archivés depuis le 19 juillet
1995.
Nous
pourrons alors les comparer avec le listing original en ma possession dont
je ne
veux
me séparer.
Par
ailleurs ce listing étant assez important (130 pages au format A3),
je
n’ai pas les moyens de le faire reproduire.
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Je
me permets de rappeler à ce sujet que je n’ai pas réclamé
l’ensemble des frais acquis restant dus à l’étude (1.182.969,27
Francs) mais que je n’ai réclamé simplement sur ladite
somme,
dans ma lettre du 10 Septembre 1999 au Procureur Général, que l’équivalence
du
pourcentage moyen des bénéfices réalisés sur les 10 dernières années
précédentes,
soit
186.542,-Francs.
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Je
me permets de rappeler également ce qui n’a pas été abordé pas la
lettre qui m’est soumise pour observations, savoir :
-
la dette de 99.508,-F que la SCP FLESCHEN devait à l’étude lors
de ma suspension, et qui a fait l’objet du 1° de ma lettre au Procureur Général
du 10 septembre 1999.
-
la somme de 300.000,- Francs, réclamée en bas de la page 4 de la
lettre précitée du 10.09.1999, représentant les frais de procédure et de
correspondance, ainsi que pour le préjudice moral que j’ai subi du fait
de toutes les persécutions malveillantes dont j’ai fait l’objet.
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Veuillez
croire....
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203)
Le 30/08/2000 : nouvelle
invitation
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Par lettre datée du 30 août
2000, mon avocat m'informe que nous sommes autorisés à consulter les
archives le 04 septembre 2000 vers 14 h 30/15 heures.
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204)
Le 05/09/2000 : nouvelle
lettre de mon avocat au Procureur Général
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Les découvertes dans les
scellés le 04 septembre au Parquet Général sont surprenantes ! Mon
avocat s'adresse au Procureur Général en ces termes :
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205)
Le 01/11/2000 : pourquoi
ce silence de ma part ?
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Que s'est-il passé entre
juin et maintenant en ce qui me concerne ?
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