Auteur: Alexander S. Zazerskiy
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au développement du
PARADIGME SUBQUANTIQUE
Alexander S. Zazerskiy
ANNO 18 mai 1998
Table des matières
Du modèle champêtre de l'électron vers la Théorie du Champ Unique    ru  en 
1 Du Paradigme Subquantique et Théorie du Champ Subquantique – SubQFT  ru  en 
1.1 «Est-elle assez folle pour s'avérer encore vraie?» New!Updated!  ru  en 
1.2 Une nouvelle lecture de l'Evangile de Maxwell  ru  en 
1.3 «Nous avons de la chance… que nous faisons maintenant»  ru  en 
1.4 «J'espère et je crois»  ru  en 
1.5 Le Tableau Subquantique du Monde    ru  en 
2 Seulement un trait pour le portrait…  ru  en 
3 Vers la théorie du champ d'électron    ru  en 
3.0 Les fondements de la physique subquantique    ru  en 
3.1 Equations de Maxwell déterminent la physique des sources    ru  en 
3.2 Les fils du courant hyperboliques    ru  en 
3.3 La loi du mouvement des sources    ru  en 
3.4 Le nouveau tenseur de l'énergie-impulsion. 6-formalisme    ru  en 
4 L'asymétrie électromagnétique dans des paires hadron-antihadron  ru  en 
5 L'électron et la Théorie du Champ Subquantique – SubQFT    ru  en 
5.1 Origines de la Physique Subquantique    ru  en 
5.2 Equations de Maxwelle soulignent le Mouvement Hyperbolique des sources du champ    ru  en 
5.3 Vers la Loi Subquantique du Mouvement    ru  en 
5.4 Simétrisation des équations de Maxwell    ru  en 
6 Collisions des Instincts ou Drame des Idées    ru  en 
6.1 Vers le «Miracle Grec» à travers les Cours et la Tradition de Logos-Agone    ru  en 
6.2 Tragédie de Gottinguen comme le Choix d'Histoire    ru  en 
6.3 Vers la loi Beer–Poincaré    ru  
6.4 Problème d'Anaximandre    ru  
7 Recherches expérimentales dans le monde des idées    ru  en 
7.1 Expérimentations avec le théorème de Pythagore et l'opérateur de Laplace    ru  en 
8 Supernouveaux Trous de l'Univers    ru  en 
8.1 Le Trou Electrique ou le Condensateur en Etoile    ru  en 
8.2 Le Trou Conique dans l'Impulsion de l'Electron    ru  en 
8.3 Le Trou Topologique dans les solutions des Equations de Maxwell    ru  en 
Aidez-moi à vous aider    ru  en 
Littérature Citée    ru  en 
 

1  Du Paradigme Subquantique et Théorie du Champ Subquantique – SubQFT


1.1  «Est-elle assez folle pour s'avérer encore vraie?» New!Updated! (Niels Bohr)

Jugez vous-même. Le champ commun est le champ électromagnétique de Faraday–Maxwell. Les équations de Maxwell–Lorentz (ML-équations) pour les potentiels dans l'aspect standard à 4-dimensions sont accomplies exactement. Cela est atteint par l'application des nouvelles sources fundamentales subquantiques du champ, dont la définition rigoureuse demande la sortie à l'espace de plus haute dimension. Les courants subquantiques chargés entrant les parties droites des ML-équations, correspondent aux courants virtuels vides de l'Electrodynamique Quantique, mais sont définis indépendamment. Les courants des sources ne «voient pas» l'un l'autre à tel point que dans chaque point de l'espace dans n'importe quelle direction il y a une paire des courants du different signe de la charge. Chaque telle source chargée se deplace dans le champ conformément à la loi du mouvement subquantique, et chacun, indépendamment des autres, engendre le champ conformément aux ML-équations.

La loi du mouvement est déduite de la condition de l'existence de la décision en forme des électrons stables avec les propriétés «nécessaires». La loi du mouvement cherchée est définie assez strictement notamment par la condition de l'engendrement de l'électron! Si l'électron existe, il existe aussi le proton, l'atome et tout existant! Existe, étant, cela veut dire, la décision du système commun des ML-équations et des équations subquantique du mouvement des sources. Toutes les particules et les champs sont seulement les manifestations visibles de la coopération entre le champ et ses sources!

La Théorie des Quanta est venue comme la réponse à la question: – Comment l'atome est-il possible?

La Théorie Subquantique du Champ (SubQFT) est venue comme la réponse à la question: – Comment l'électron est-il possible?

Selon le modèle demi-classique initial de Niels Bohr, – l'atome d'hydrogène devenait possilble dans la théorie si'il avait l'ensemble des orbites stationnaires électroniques assez déterminé (par les postulats de Bohr), les orbites pour lesquelles la justice des ML-équations fut partiellement abrogée et l'absence totale de rayonnement pour ces états stationnaires d'atome fut postulée. Pour ce temps-là les ML-équations à l'intérieur d'électron avaient été déjà «temporairement» abrogées.

Le développement suivant de la physique quantique mena à l'élaboration de la nouvelle «cinématique» quantique (non-relativiste, bien que relativiste), qui abrogèrent la description spatiale détaillée du mouvent d'électron le long de classiques trajectoires contenues. Seulement dans le cadre de la cinématique ainsi «tronquée» d'électrons et de positrons on a réussi de «garder successivement» la justice des ML-équations. Les procédures de la rénormalisation de la charge et de la masse d'électron élaborées dans le cadre de l'Electrodynamique Quantique, dans quelque sens fermèrent le processus de le développement de l'Electrodynamique Quantique et le menèrent à son logique «achèvement» limite.

La construction de SubQFT commence de l'éboration du modèle subquantique d'électron – l'objet principal, maximalement symétrique et le plus simplement fait de notre monde quantique. Le modèle subquantique de l'électron célibataire au repos lie la possibilite de celui-ci avec la présence sur le niveau subquantique de l'ensemble bien déterminé des subcourants stationnaires chargés, qui aussi n'émettent pas en se deplaçant de la manière accélérée (hyperbolique) dans le champ d'électron. Ce sont ces subcourants chargés qui sont les sources véritable du champ unique, entrant dans les parties droites des ML-équations. La reconstruction des subcourants en qualité des sources du champ unique et ses propriétés mathématiques bien que physiques s'appuie, principalement, – sur les symétries des ML-équations.

Le rôle principal dans SubQFT, après le groupe de Lorentz, joue la symétrie hyperbolique des ML-équations, – car la structure subquantique stationnaire et conservative peut être construite seulement et exceptionnellement des subcharges se déplaçant hyperboliquement (étant uniformément accélérées) et absolument privées de rayonnement. C'est seulement parmi les structures subquantiques hyperboliques où il faut chercher tellement nécessaires pour nous les structures absolument stationnaires et stables d'électron célibataire et de proton célibataire au repos.

Il est postulé que les sources subquantiques du champ unique chargées et distribuées en continu dans l'espace, remplissent tout l'espace physique (sauf des très petites régions de l'«inaccessi­blité» dans les parties centrales d'électron et de proton…), l'espace qui dans l'électro­dynamique classique ne supposa pas aucunes sources chargées du champ hors de la charge «propre» d'électron, mais dans l'Electro­dynamique Quan­tique était rempli par des courants vides des électrons et des positrons virtuels avec la cinématique correspondante.

A chaque distance du centre de la symétrie d'électron et dans chaque sens spatial (deux paramètres angulaires) de ce point on trouve à la fois une paire de subcourants chargés de signes opposés d'une densité bien déterminée. Un tel empilement «super-dense» par les subcourants chargés de l'espace «vide» de particules chargées – de l'éther subquantique, – un trait caractéristique de SubQFT et, en particulier, – du modèle subquantique d'électron. Cet empilement «super-dense» par les subcourants de chaque point de l'éther subquantique est formé par deux ensemble deux-paramétriques des trajectoires continues (hyperboliques) bien classiques, qui à son tour sont formées par les subcharges se déplaçant dans le champ d'électron, les subcharges qui passent à travers ce point et s'appuient avec ses extrémités sur l'infini.

Dans l'infini spatial du centre d'électron, où le champ de celui-ci s'annule, l'ensemble des subcourants a la symétrie la plus possible. Là les ensembles des subcourants à charge positive at à charge négative sont égaux et isotropes (ne dépendent pas de sens), mais la vitesse commune pour toutes les charges est égale à la vitesse de la lumière. En venant de l'infifni avec la vitesse de la lumière, les subcharges de deux signes se dispersent sur le champ d'électron le long des trajectoires hyperboliques, en rentrant à l'infini. Selon la signe de la charge et du paramètre de la collision de sa trajectoire hyperbolique du mouvement relativement le centre d'électron, les subcharges atteignent sa minimale distance de sommet au centre, où elles ont la vitesse au sommet minimale, et tourne à l'infini le long d'une autre moitié de l'hyperbole.

Les orbites stationnaires électronique dans l'atome de Bohr furent incompatibles avec ML-équations, mais le mouvement hyperbolique des subcharges dans le champ d'électron a lieu sans rayonnement tout à fait selon les ML-équations.

La nécessité de l'acquisition d'une configuration hyperbolique strictement stationnaire des subcourants dans le champ d'électron, distingue complètement la loi du mouvement des subcharges dans le champ d'électron, bien que ce champ lui-même, et mène à l'acquisition par les subcharges de la masse au repos de champ (variable). Il n'éxiste pas de composante constante dans leur masse aux repos, car leur vitesse sur l'infini est celle de la lumière (ou – au contraire). C'est une liste complémentaire des traits caractéristique du modèle subquantique d'électron.

Acunes subcharges statiques (immobiles) d'électron ne sont pas supposées! On ne les trouve pas ni au centre d'électron, ni – a n'importe quelle distance de lui. Donc, – il n'y a plus de nécessité de les y retenir avec «élastiques» quelconques de détente, déterminée par les forces de la répulsion mutuelle entre les «parties» d'éelectron chargées de même signe. Maintenent, pour ainsi dire, l'électron se désagrège sur parties régulièrement et constamment, qui s'envolent dans l'infini spatial, et de la même sorte, cela veut dire – régilièrement et constamment, l'éelectron se restaure d'un courant inverse et égal de subcharges de l'infini. Pour chaque trajectoire hypebolique du mouvement des subcharges dans le champ d'électron il existe une trajectoire qui lui coincide, la trajectoire spatiale du mouvement de subcharges qui se déplacent dans direction inverse avec les mêmes vitesses, c.-à-d. – dans chaque point de la trajectoire on trouve deux courants dont les valeurs sont égales, mais les sens contraires.

Au lieu de la constante de Planck (Dirac) qui est carctéristique pour la théorie des quanta, dans SubQFT – sa constante caractéristique est la valeur du module du carré de 4-vecteur d'accélération, commune pour tous les subcourants d'un électron solitaire au repos et conservée en mouvement de chaque sa subcharge le long de sa trajectoire hyperbolique. Dans SubQFT un tel le naturel (absolu) système des unités de mesure est choisi, où les modules des carrés des 4-vecteurs de la vitesse et de l'accélération des subcharges de l'électron solitaire au repos sont unitaires. Ces deux constantes fondamentales de SubQFT déterminent complétement leur unités absolues de longuur et de temps. C'est bien remarquable que le modèle subquantique d'électron si on écrit toutes ses valeurs dans le système d'unités naturel, – mène à la charge unitaire d'électron.

Voilà, en bref, quelle apparence a la solution du Problème d'Anaximandre et d'Héraclite dans le Paradigme Sibquantique (applicablement à l'électron solitaire au repos):

«Comment la chose est possible qui se change, mais garde son identité.»

Les subcourants de deux signes de charge, courants de l'infini, léchent le champ d'électron solitaire au repos, se dispersent sur lui le long de l'ensemble de stationnaires trajectoires hyperboliques, bien que la configuration spatiale de son propre ensemble des fils subquantiques hyperboliques de courant reste inaltérable et identique. La dispersion d'éther subquantique sur la champ d'électron est dirigée par la loi subquantique du mouvement de subcharges dans le champ. Le champ d'électron, ayant l'interaction avec l'éther subquantique de l'infini, engendre son propre ensemble des subcourants (des fils hyperboliques de courant) dans tout l'espace.

Chaque élément du propre ensemble des subcourants d'électron, tout à fait conformément aux ML-équations, indépendamment des autres subcourants et leurs éléments, – engendre son champ partiel. La somme (l'intégrale) de tous ces champs partiels, générés par tous ces éléments du propre ensemble des subcourants d'électron, – est le champ stationnaire d'électron. Le propre ensemble de subcourants d'électron engendre son champ.

L'électron est une e-paire de deux substances subquantiques qui interagissent et générent l'un l'autre: – le champ et le propre assortiment de subcourants dans tout l'espace.

Dans la e-paire c'est seulement e-ensemble des subcourants (d'électron) qui est au fond vraiment subquantique du point de vue de la physique. Il est composé de deux sous-ensembles: – e+-ensemble des subcourants à charge positive et e-ensemble des subcourants à charge négative. Si e+-ensemble remplit tout l'espace, alors – e-ensemble remplit tout l'espace sauf sa zone d'inaccessibilité, qui est l'intérieur de la sphère avec le centre dans le centre de la symétrie d'électron et le rayon égal à deux longueur unités.

Dans le centre d'électron les subcharges de e+-ensemble ont la vitesse neutre. C'est leur point culminant de la trajectoire hypebolique du mouvement, qui, le point, coincide avec le paramètre neutre de collision et se dégénère en une paire des rayons concordants du centre à l'infini. Les subcourants chagés positivement, ayant la vitesse neutre au centre d'électron, ont là l'accélération unitaire et très vite se précipitent de là à l'infini, en faisant son chemin de retour, suivant la même voie qui les ména de l'infini au centre d'électron, en répétant en chaque point de leur chemin de retour les mêmes accélerations et les mêmes valeur absolues des vitesses, dont ils disposaient en se deplaçant au centre en ce point. Pour le paramètres de la collision, qui ne sont pas égaux à zéro, les suncourant à charge positive se déplqcent le long des hyberboles normales, qui à leur tour enveloppent le centre d'électron, qui, le centre, est à l'intérieur de cettes hyperboles à la distance de leur distance au sommet des sommet. Au sommet de leur hyperbole les subcharges ont la plus minimale vitesse au sommet, qui devient autant plus grande que la valeur du paramètre de la collision (ou de la distance au sommet) de cette hyperbole devient plus grande.

Les subcourants à charge négative de e-ensemble, dont le paramètre de la collision est égal à zéro, tournent et commencent leur chemin de retour à la distance au sommet de deux unités du centre d'électron. Qualitativement, la différence entre leur trajectoire du mouvement et de celle du mouvemnt des subcourants à charge positive avec le paramètre de la collision qui est égal à zéro est seulement dans ce déplacement de deux unités. A la distance, qui est moins que deux unités, les subchargens ne peuvent pas pénétrer. Cette zone d'inaccessibilité est libre des subcourants de e-ensemble et remplise seulement par subcourants à charge positive. Quand les hypeboles de e-ensemble ont les paramètres de la colision finis, elles se posent qualitativemant autrement relativement du centre d'électron. Pour ces subcourants-là le centre est situé à l'extérieur de l'hypebole à la distance de la distance au sommet de ses sommets.

Dans SubQFT l'électron est vu par nous non seulement comme un «essaim» du champ central-symétrique de haute intencité dans la région du centre, mais comme l'«essaim» aussi symétirque de l'éther subquantique presque complétement arrêté, qui possède l'énergie de champs.

La masse d'électron, bien que tous les paramètres des orbites stationnaires électroniques de Bohr, y compris la constante de Planck (Dirac), – sont calculés dans le cadre de SubQFT. Cela et atteint déjç dans le première approximation hyperbolique, quand il est supposé l'existence de bien que petit prélèvement central hyperbolique dans le «propre» ensemble des subcourants d'électron, qui est perturbé par le champ étranger; le prélèvement, por qui ces morceaux centraux choisis des trajectoires des subcourants sont considérés concordants, dans le système du repos du centre d'électron perturbé, avec les trajectoires du propre ensemble des subcourants d'électron solitaire au repos.

Le champ agissant perturbé d'électron est considéré comme la somme (dans le système du repos de son centre) de leur propre champ et de la petite composante de juste le même champ central symétrique perturbant avec le centre, qui est situé assez loin du centre d'électron décrit. Une telle l'apparition d'accélération «compensante» du centre d'électron, posé dans le champ étranger concordant, est supposée, qui assure la conservation de l'état hyperbolique et d'identité àu propre ensemble des subcourants (d'éléctron solitaire au repos) dans le cadre de son prélèvement central hyperbolique du «propre» ensemble perturbé des subcourants. Cettes accélérations du centre «compensantes», assurant l'etat hyperbolique, sont calculées avec la substitution dans la loi subquantique du mouvemant du champ perturbé, calculé avec le schéma d'approximation hyperbolique, qui est décrit au-dessus. Comme le résultat du calcul nous avons l'ensemble des accélérations concordantes «compensantes» pour chaque morceau central de la trajectoire des subcourants hyperbolique du prélèvement central hyperboliqe. En princip; – c'est cette concordance des valeurs des accélérations «compensantes», calculées selon le schéma d'approximation hyperbolique, qui est la définition constructive du prélèvement central hyperbolique des subcourants d'électron perturbé. Le but intermédiare du calcul est non seulement la définition de cette accélération du centre «compensante», mais aussi la définition des limites de la configuration eux-mêmes du prélèvement central hyperbolique, pour lequel l'approximation hyperbolique se justifie et l'accélération commune concordante «compensante» est obtenue.

C'est clair, que si cette accélération «compensante» du centre d'électron, mis dans le champ étranger concordant, était absente, cela signifierais immédiatement la perte de l'état hyperbolique dans le mouvement de ses subcharges dans tout son «propre» ensemble des subcourants perturbé. C'est sur cette idée qu'on construit le schéma d'approximation hyperbolique pour la définition de la loi du mouvement du centre d'électron dans le petit champ extérieur.

Dans l'électrodynamique classique ces accélérations «compensantes» des centres des structures interegissantes subquantiques de deux électron sont déclarées (conformément à la lois classique du mouvement d'électrons) le résultat de l'interaction de forces de ses charges électrique. Ces charges, aussi que les masses des particules classiques, sont considérées commes initales et invulnérable (se conservant) substances de la physique ou comme les propriétés, «emprisonnée pour toujours» dans les parcelles poctuelles. La valeur de la charge de chaque électron concret est strictement conservée et ne dépend pas de la présence quelque part des autres électrons et des interactions de forces avec eux. Comme la preuve de la justice de cette «loi» on invoque la neutralité électrique d'atome observée dans ces états stationnaires de Bohr et l'absence complète de la déviation de tels atomes quand ils passent le régions du fort champ électrostatique.

Faites attention au fait, que dans toutes ces confirmations expérimantales nous avons affaire aux atomes dans leurs états sataionnaires de Bohr. Ces états stationnaire des atomes sont distinguées dans SubQFT aussi par le fait, que leurs structures subquantiques sont construites des subcourants hyperboliques, le fait qui entraîne leur stationnarité et l'absence de rayonnement. Donc, – ces orbites électronique stationnaires de Bohr sont complètement distinguées déjà dans la première approximation hyperbolique de SubQFT.

Déjè dans le cadre de l'approximation hyperbolique de SubQFT, efféctuée au certain voisinage d'une de ces orbites stationnaires électronique de Bohr, on observe la brusque extension des limites du prélèvement central hyperbolique d'électron, qaund les orbites d'essai de celui-ci s'approchent les orbites stationnaires électroniques de Bohr. Cela signifie qu'avec l'approchement des paramètres de l'orbite d'essai vers les paramètres d'une des orbites stationnaires électroniques de Bohr augmente le degré d'hyperbolicité du «propre» ensemble des subcourants d'éléctron. L'observation du comportement des limites du prélèvement central hyperbolique permet de juger la qualité de l'approximation hyperbolique dans la situation physique qui nous intéresse et, sans franchir les limites de cettes approximation, d'obtenir l'unformation sur l'accélération «compensante» du centre d'électron, l'information, qu'on ne peut pas obtenir aussi facilement sans application de ce schéma.

Au bout du compte, – toutes ces situations physiques, qui sont correctement décrites par la mécanique matricielle de Heisenger, par la mécanique ondulatoire de Schrodinger ou par les méthodes des «intégrales sur des trajectoires» de Feynmann, correspondent notamment aux cas, qui sont résolus d'une manière correcte dans l'approximation hyperbolique de SubQFT. Ainsi, SubQFT contient la notion subquantique hyperbolique de la mécanique quantique non-relativiste. Autant inattendu que tout ça puisse paraître, – la notion subquantique hyperbolique, et donc, la mécanique quntique non-relativiste, reussissent à construire l'interprétation bien que subquntique, mais tout à fait classique (selon les méthodes de description); l'interprétation qui est plus facile à manier par notre «innée» intuition physique.

Le proton, aussi que l'électron, et l'un des poduits possibles de la réalisation de la fondamentale interaction subquantique dans la p-paire. Cette interaction et contrôlée par les mêmes ML-équations et la loi du mouvement, rodés en cours du modelage de l'interaction dans la e-paire. Aussi l'ensemble des subcourants de proton est fait strictement par les subcharges qui se déplacent hyperboliquement, ce qui est indispensable pour la stabilité du proton.

Les visibles différences physiques entre l'électron et le proton sont déterminées par des symétries différentes réalisées dans leurs champs et dans leurs propres ensembles des subcourants. L'électron à la symétrie symétrique (centrale) de son champs et de tous ces subcourants la plus possible pour une particule avec la masse de repos finale. Chez le proton, – cette symétrie comme l'asymptotique existe seulement sur les distances assez grandes de son centre. Mais dans la assez petite zone centale chez le proton, la symétrie réalisée d'une manière plus complexe. L'essentiel, la réalisation d'une telle symétrie est belle et bien possible dans le cadre des moyens dont dispose la fondamentale interaction subquantique dans la p-paire – notamment, les ML-équations et la loi du mouvement subquantique.

Parmi les symétries connues des structures physique, celle-ci de proton ressemble plus la symétrie de monoionisé (apres avoir perdu l'électron extérieur) troisième élément de la liste de Mendéléev. La seule «différence» – les dimensions du proton sont diminuées 105 fois et on a fait la «rénormalisation» des valeurs des masses et des charges du «noyau» et des deux «électrons», qu'on a commencé a nommer «quarks».

Cette esquisse subquantique du modèle de proton à les meilleures chances de recevoir le statut de l'«incroyable» et «fou» selon d'un physicien contemporain. Mais puisque les moins «folles» variantes ont été essayées dans toutes combinaisons «raisonnables» il y a longtemps et n'ont pas méné aux résultats souhaitables, – il faut se décider à essayer telles règles du dialogue avec la nature. C'est seulement tel jeu subquantique qui «vaut la peine»!

 La traduction est faite par Natasha Zazerska
Modifications dernières: 24 décembre 2004
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1.2  Une nouvelle lecture de l'Evangile de Maxwell

Maxime Karpenko finit le livre «Univers Raisonnable» par un tel paragraphe :

Il n'y a pas longtemps un physicien a raconté l'histoire surprenante arrivée a lui. Dans cet état etrange du demi-sommeil quand il y a des visions les plus improbables, chez lui est venu le Dieu lui-même. Le physicien, étant premièrement physicien, et ayant la passion caracteristique de chaque savant veritable de recevoir les connaissances a n'importe quel temps et dans n'importe quelle place, a engagé avec le Dieu la conversation concernant, essentiellement, l'opinion du Dieu sur de certaines conceptions physiques. On mentionnait aussi les équations de Maxwell. A la fin de la conversation, quand la tentative a été faite par le physicien de recevoir de l'instance, il paraît, la plus superieure l'estimation de nos efforts concernant la reconstitution du tableau veritable du Monde, le Dieu a dit : «vous avez le livre écrit il y a des milliers d'années – l'Evangile. Ainsi – l'Evangile, et les équations du Maxwell se rapportent également à la verité». C'est pourquoi, bien que pas seulement, je termine ce livre par les mots de mon préféré Richard Bah: «Tout ce qu'est écrit dans ce livre est, probablement, incorrect».

Vladimir Pavlovich Vizgin écrit dans son oeuvre remarquable «Dogme de la foi du physicien-théoricien»:

En commentant la situation actuelle dans les relations de la physique et les mathématiques, le mathématicien connu russe, l'académicien Vladimir Arnold écrivit sur la parenté de celle-ci avec l'état de choses a l'époque de Newton: «Les lois Fundamentales physiques sont décrites simplement dans les termes purement géometriques. Ce fait (restant mysterieux jusqu'à aujourd'hui) frappa tellement Newton qu'il l'a cru la preuve de l'existence du Dieu»

Max von Laue se rappelait qu'à la fin de XIX – le début XX s. tels physiciens comme Ludwig Boltzmann, Heinrich Hertz, Max Planck et les autres notamment dans cette clé parlaient des équations de Maxwell: «la Compréhension comment de divers phénomènes compliqués sont ramenés mathématiquemant à telles harmonieusement belles équations solides de Maxwell, est uns des émotions les plus fortes, qui sont accessibles à la personne». Boltzmann cita une fois les vers à propos de ces formules: «N'est-il pas le Dieu qui a écrit ces signes, qui ont calmé l'alarme de mon âme et ont découvert à moi le secret de la nature?» (de «Faust» Goethe. – V.V.).

 La traduction est faite par Natasha Zazerska
Modifications dernières: 02 août 2004
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1.3  «Nous avons de la chance… que nous faisons maintenant» (Richard Feynman)

Juste un paragraphe du best-seller de physique «Caractère des lois de physique» de Richard Feynman:

Nous avions bien de la chance vivre au siècle, quand on peut encore faire les découvertes. Cela comme la découverte de l'Amerique, qui est découverte une fois pour toutes. Le siècle, où nous vivons, est le siècle de découverte des lois fondamentales de la nature, et ce temps ne se répétera jamais. Ce temps surprenant, le temps des émotions et ravissements, mais cela arrivera la fin. Certes, dans l'avenir les interêts seront tout a fait différents. Alors on s'interesse aux corrélations entre les phénomènes des différents niveaux – biologique etc. ou, si on parle de découvertes, a l'étude des autres planètes, mais en tous cas ce ne sera pas le même que nous faisons maintenant. [18]

 La traduction est faite par Natasha Zazerska
Modifications dernières: 02 août 2004
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1.4  «J'espère et je crois» (Konrad Lorenz)

 

Je ne m'imagine pas que je puisse accorder la connaissane,
Pour corriger les gens et les mettre sur la voie

GOETHE

A la différence de Faust, j'imagine que je pourrait enseigner quelque chose, ce qui corrigera les gens et les mettra sur la voie. Cette idée ne me semble pas trop arrogante. Au moins elle est moins arrogante que l'inverse, – si celle-là vient non au sujet de la persuasion que l'on n'est pas capable d'apprendre soi-même, mais de la supposition que «ces gens» ne sont pas capables de comprendre une nouvelle doctrine. Cela arrive seulement dans les cas extraordinaires, quand quelque génie depasse son temps pour des siècles. Si les contemporains écoutent quelqu'un et même lisent ses livres, on peut affirmer avec certitude que cela n'est pas un génie. Dans le meilleur cas il peut s'amuser par l'idée qu'il a que dire juste «pour l'affaire». Tout que peut être dit, agit le mieux possible juste lorsque le parlant par les nouvelles idées depasse seulement à peine les auditeurs. Alors ils réagissent par l'idée : «En fait, je devrais le deviner moi-même!»[23,Ch.14]

La situation avec les idées de la théorie des quanta du champ et le dynamisme de leur perception a les signes réguliers des collisions des instincts et les drames des idées. Nous ne pouvons pas dire qu'on ne lit pas. On lit, mais… dans la plupart des cas ne réagit pas par l'idée: «En fait, je devrais le deviner moi-même!» Peut être, – l'auteur du paradigme subquantique soit le génie du rang plus haut selon la classification de Stanislav Lem? Heureusement, pas du tout! Avant tout, l'auteur ne dépasse pas le temps, mais au contraire, – y reste en arrière. Et ce retard selon des estimations différentes se trouve dans l'intervalle de 50 à 100 ans. L'estimation la plus probable et authentique semble le retard de 90 ans. Le temps naturel de l'élaboration de la théorie des quanta du champ – SubQFT – pouvaientt être les années: 1909 – 1914!

Soit sous un autre nom, mais SubQFT était mise en lumière pour la première fois en 1908 dans les oeuvres du mathématicien italien Tullio Levi-Chivita [7]. Le sort de ses idees se décidait loin au nord de l'Italie solaire – derrière les remparts de Gottingen. Les figures clés de ce drame des idées dans Gottingen étaient les professeurs de mathématique: David Hilbert et Hermann Minkowski. Ce qui paraissait le drame des idées aux romantiques de la vie académique, en réalité, – avait tous les signes de collisions des instincts et se développait conformément aux caractères des Romains, entraînés dans les actions autour des combats de gladiateurs dans le Colisée de Rome.

Minkowski réalisa une finition bien faite des résultats reçus dans une série des travaux novateurs de ses prédécesseurs: Lorentz–Poincaré–Einstein, en utilisant l'outillage déjà pret des mathématiciens italiens [10]. Minkozski construisit une nouvelle demeure (monture) pour le champ électromagnétique et ses sources, – le Monde de Minkowski. Après ce grand moment de la géométrisation on respectait naturellement la symétrie des équations de l'électromagnétisme, inscrits sous la forme 4-vectorielle, relativement aux transformations du groupe de Lorentz, dont le parrain fut Henri Poincaré. Minkowski attira l'attention vers la dictinction cinétique du mouvement hyperbolique des sources du champ. Il se heurta à la possibilité de l'utilisation d'une symétrie de plus, notamment à celle des équations de Maxwell-Lorentz comme la formant dans l'électrodynamique. Déjà il avait bien disposé d'une symétrie dans la construction du Monde, qui plus tard fut nommé par son nom. C'était le tour de la suivante… – la symétrie du mouvement hyperbolique des sources, celle qui garde le conservatisme du champ crée par ces sources-ci. Pendant sa dernière «promenade mathématique», qu'il faisait tous les jeudis, juste une semaine avant le jour de ses funérailles, Minkowski parlait «avec la vivacité pariculière» de ses derniers résultats dans l'électrodynamique [aux professeurs les mathematiciens du Goettingen]. [12] Le midi du mardi suivant, le 12 janvier de l'année 1909, Minkowski mourut.

Après la mort d'Hermann Minkowski, sur la proposition de David Hilbert, Max Born devint l'homme de confiance de madame Minkowski dans l'affaire de l'édition des ouvrages physiques de son mari. [12] Parmi des autres, il y avaient les notes brouillones et les pièces brutes laissées par Minkowski selon le mouvement hyperbolique, bien que la preuve authentique de la réaction du Génie de Minkowski aux idées et au programme de Levi-Civita.

L'ouvrage de Borne sur le mouvement hyperbolique [3] témoigne incontestablement de l'attitude très négative de Hilbert envers les plans créateurs de Minkowski concernant ce sujet. C'est absolument évident que cet ouvrage [3] poursuivait plusieurs buts à la fois, qui furent formulés et posés devant Born par Hilbert. Il fallait exposer «le point de vue juste» sur la nature de l'espace, le point de vue, lié avec le dynamisme du du corps absolument solide (des régles), bien que un peu. On mettait la tâche d'enlacer naturellemnt dans cette théorie le mouvement hyperbolique et de prevenir l'utilisation de cette arme par ceux-ci, qui peuvent concevoir le projet de sacrifier le corps solide à un certain liquide. Et aussi, – laisser sous l'ombre le fait que le professeur de mathématique de Gottingen et le collègue de Hilbert participa directement au «complot contre la raison». Et cela n'est point l'hyperbole. Hilbert ne reconnut pas les compromis et agit très durement dans tout ce que lui semblait l'obstacle dans l'exécution de sa mission. Il ne reconnut pas aux collègues le droit au choix personnel des formes et les moyens de la conception des verités (mathématiques), le choix différent de celui-ci de lui-même – le «seulement possible» et «absolument juste». Comparez à sa réaction morbide a l'intuitionnisme de Brouwer.

Minkowski, Levi-Civita et ses idées de la géometrisation suivante de la description de la nature des sources dépassèrent son temps! Minkowski, bine que Levi-Civita ne réalisaient pas encore qu'ils firent la tentative hardie du mouvement contre la direction magistrale du développement de la mentalité de physique du début de XX siècle. Le flux puissant et dominant des efforts pour l'affirmation illimitée de l'ATOMISME était déjè en train de prendre force. XX siècle dans l'histoire de la pensée de sciences naturelles – c'est le siècle de la domination absolu de l'INSTINCT ATOMISTIQUE dans le sein de la RAISON PERCEVANT des leaders reconnus.

 La traduction est faite par Natasha Zazerska
Modifications dernières: 04 août 2004
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2  Seulement un trait pour le portrait…

A.EinsteinCette photo du grand physicien et ses mots remis par Alexander Moshkowski : Dostoievski me donne plus, que n'importe quel penseur scientifique, plus, que le Gauss! – sont également inattendus et incommodes pour la compréhension. Mais nous imaginons-nous dans le role d'Einstein, qui, étant en train de lire le «Joueur» de Fedor Mikhailovitch Dostoievski, éprouve avec un principal héros les efforts et les passions similaires, ce qui suscite une sensation étrange, quelque appel au sort, quelque desir de lui donner le clic, de lui montrer la langue. Dostoievski bien que Einstein atteignaient l'authenticité des tournants les plus paradoxaux, leurs oeuvres sont pleines des jugements et des acts de personnages qui sont intuitifs, hors de la logique. Dostoievski donnait au créateur de la théorie unique la motivation morale, en fortifiant son sentiment spatial religieux.

 La traduction est faite par Natasha Zazerska
Modifications dernières: 02 août 2004
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4  L'asymétrie électromagnétique dans des paires hadron-antihadron.
Appel à l'EXPERIENCE

L'analyse qualitative de la manifestation de la composante scalaire du champ du niveau subquantique dans notre monde atomique (quantique) nous permet prévoir la violation de la symetrie des valeurs des moments magnétiques dans les paires protone-antiproton (hadron-antihadron), les masses au repos et les autres paramètres peu énergétiques.

Un travail grand et minutieux sur la description théorique de ce phénomène est prévu. L'expérience peut dire son mot, sans attendre les résultats théoriques solides dans ce domaine.

Il faut analyser et indiquer les schémas les plus accessibles des situations expérimentales et étudier la possibilité de l'utilisation des bases de données expérimentales existant en vue de leur nouvelle analyse pour la présence de l'asymétrie attendue.

Votre mot – Votre Majesté EXPERIENCE!

 La traduction est faite par Natasha Zazerska
Modifications dernières: 02 août 2004
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Littérature Citée:
3. Born M. Ann. d. Phys., 1909, Bd 30, S. 1
7. Levi-Civita T. Sui campi elettromagnetici puri, bei C. Ferrari, Venezia 1908; Sulle azione meccaniche etc.; Prendiconti d. Pr. Acad. dei Lincei 18, 5a.
10. Ricci G., Levi-Civita T. Math. Ann. 1901, v. 54, p. 125
12. Reid C. HILBERT (With an appreciation of Hilbert's mathematical work by Hermann Weyl), Springer – Verlag, 1970
18. Feynman R. The Character of Physical Law, Cox and Wyman LTD, London 1965
23. Lorenz K. Das sogenannte Böse (Zur Naturgeschichte der Agression), Taschenbuch Verlag, München
 
Site primaire – http://www.ltn.lv/~elefzaze/
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