TRIBUNE LIBRE
Ils dynamiteront Notre-Dame

Traduction de l'article d'Ann Coulter publie ici en anglais: http://www.anncoulter.org/columns/2002/050202.htm  

Les électeurs français tentent de rejeter le dynamitage de Notre-Dame - Mai 2, 2002

Les libéraux ont finalement trouvé un peuple bien plus digne de leur admiration que le Français adultère: l’incendie des synagogues, les mutilations génitales, l’encouragement au terroristes musulmans.

D'habitude, Jean-Marie Le Pen du Front National en France serait le politicien idéal de la gauche. Il dénonce régulièrement «l’impérialisme » des États-Unis. Il s'est opposé à la guerre du Golfe. Il est soutenu par des communistes. Il dédaigne tellement la religion qu'il s’est marié avec bonheur à une divorcée, heureux qu'il ne devrait pas l'épouser à l’église. Il a un bon nombre d’aventures - la pièce maîtresse de la supériorité de la France par rapport à l'Amérique.

Mais les libéraux n'aiment pas Le Pen. Ils veulent que les musulmans fassent pour Paris ce qu'ils ont fait pour Kaboul, et Le Pen est dans leur chemin. Après des années des commentaires déplacés contre les immigrés musulmans, le message anti-immigration de Le Pen's a finalement attirés l’attention des électeurs.

En dépit des affirmations faciles et gaies au sujet de l'Islam, « religion de paix », les Français ont été à plusieurs reprises confrontés à une réalité opposée. En plus de leur comportement criminel habituel, les musulmans français sont responsables d'une éruption de récents incendies de synagogues et de violence anti-sémite. (l’un d'eux a même fait un petit voyage en Amérique, espérant massacrer encore plus d'infidèles le 11 septembre.) Et puis, soudainement - choquant les libéraux un peu partout - Le Pen s'est relevé de ses cendres, tel un Phénix, se plaçant second à l'élection présidentielle. Il a même battu le premier ministre en place. Les libéraux sont fous au vu de la tournure qu’ont pris les événements. En conséquence, ils accusent les citoyens français tellement aimés de « xénophobie », selon les termes d’un éditorial du New York Times.

Le Times était dans une telle rage noire qu'il a simultanément dénoncé Le Pen de profiter de l'opposition aux immigrés, "la plupart du temps arabes," et de parler de façon "anti-sémite. Comment, exactement, l'opposition à la violence anti-sémite commise par des arabes reflète l’antisémitisme reste nébuleux.

Chaque fois que des libéraux sont frustrés, ils accusent leurs adversaires de "xénophobie" – ce qui est, évidemment, un progrès par rapport aux musulmans qui expriment leur frustration en attachant de la dynamite aux enfants. Le classique argument du Times, concernant la montée subite de l'opposition européenne à l'immigration musulmane a été décrite comme : "hyper-nationaliste," "xénophobie," "anti-immigré" et "ultra-nationaliste."

Je ne sais pas. Peut-être simplement n’aiment-ils pas la mutilation génitale féminine. (à cause de la riche culture apportée en France par des immigrés musulmans, la France a en fait dû passer une loi interdisant spécifiquement cette pratique charmante.)

Quand le Président Bush a coupé le financement du fond des population des Nations Unies - qui publient évidemment des condamnations périodiques et tout à fait impuissantes des clitoridectomies - des libéraux l’ont accusé de "prendre position en faveur de" la mutilation génitale féminine (Nicholas D. Kristof, New York Times, avril 26, 2002).

Mais quand les électeurs français s'opposent à un afflux massif des immigrés dont les coutumes culturelles incluent la mutilation génitale féminine, Le Times les appelle des xénophobes. Je propose un nouveau nom pour ceux qui s’opposent aux immigrants du tiers-monde : « Occidentaux contre les mutilations génitales ». D’autres étiquettes seraient « Occidentaux contre les mariages arrangés de fille de 12 ans », « Occidentaux contre ceux qui battent leurs femmes dont les chaussures font du bruit » et « Occidentaux contre les barbares qui comment de sauvages actes de violence et qui expliquent ensuite qu’ils se sont sentis humiliés ».

En plus de mutiler les filles et de brûler les synagogues, un autre passe-temps musulman populaire en France est de voler des voitures, les brûler et les pousser du haut des falaises. La xénophobie est-elle vraiment la seule explication pour le succès- surprise de Le Pen? Très probablement, ce que Le Times appelle la "xénophobie" est une réaction logique à un groupe spécifique d'immigrés.

Cela doit être dit : aucun politicien n’a jamais fait appel aux électeurs pour prendre parti contre les immigrés belges. Si une crainte abstraite des étrangers étaient le problème, la France n'aurait pas déjà admis tant d'arabes que l'Islam est maintenant la seconde religion de France.

Mais dans l'analyse minutieuse du Times, les divers changements de mentalité des « Occidentaux contre la mutilation génitale » (selon ma définition) ont trois "obsessions enchevêtrées": "le crime, l’immigration et la perte de l'identité nationale.'" On peut en discuter, mais il semble que les étrangers qui se déplacent dans un autre pays et refusent d'abandonner la mutilation génitale, la polygamie et les violentes attaques violentes de juifs sont davantage préoccupées de maintenir leur "identité" nationale que le Français qui n’a jamais quitté sa maison, mais trouve soudainement des polygames abattant des chèvres dans son jardin.

L'année dernière, quand David Blunkett, secrétaire britannique des affaires intérieures, a déclaré que les immigrés devraient adopter des « normes britanniques » en laissant tomber des traditions culturelles dépassées telles que des mariages forcés et la mutilation génitale, un auteur féminin du nom Yasmin Alibhai-Brown l’a condamné, ricanant de ce que les « normes britanniques » consistait à « boire à mort dans un pub ». (Une règle britannique que Yasmin Alibhai-Brown a adoptée sans peine a été de parler au nom des femmes).

Quand les Français ont rendu la polygomie illégale, en 1993, les immigrés musulmans ont ressenti de la discrimination. Un polygame a annoncé son refus d’abandonner ses épouses en sur-nombre, disant : "je ne divorcerai jamais, même si elles avaient un couteau et me décapitaient." Naturellement, le risque d'une décapitation est plutôt lointain, puisque les Français, pas musulmans, imposeront la loi.

Un autre immigré en faveur de la polygamie a déclaré: "nous acceptons les Français tels qu’ils sont, et je voudrais qu'ils acceptent la manière dont nous vivons." De la même façon que, dans leur mère-patrie - où ils ont chaudement embrassé d'autres cultures en faisant sauter les statues bouddhistes antiques. Donnez-leur quelques années de plus, et ils dynamiteront Notre-Dame.

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