TRIBUNE LIBRE
Le vrai visage du MRAP

Puisque le MRAP se permet d'organiser une manifestation importante contre l'expression légitime et démocratique des Français, il me parait utile de reproduire quelques informations sur cette officine.

I - Parmi les officines soi-disant antiracistes, c’est-à-dire concrètement racistes anti- français et anti-blancs, le MRAP tient une place de choix. Le Mouvement contre le Racisme et pour l’Amitié entre les Peuples s’est toujours (mal) défendu d’être une courroie de transmission du parti communiste « français ». Qu’y aurait-il d’étonnant puisque ce parti, surnommé pendant des décennies le Parti de l’Etranger, a toujours pris fait et cause contre la France et ceci sur tous les sujets (Algérie, Indochine, pacte germano-soviétique,anti-militarisme, désarmement, immigration, etc…) ?

En se sens d'ailleurs la filiation du MRAP au Parti communiste n'aurait rien de très surprenant puisque à l’origine l’idéologie qui l’animait, le marxisme, était elle-même étrangere à nos traditions et à notre culture. Que cette espèce de messianisme matérialiste reposant sur la haine de classe ait pu enflammer certaines populations d’Europe centrale, on peut le comprendre, mais dans nos pays occidentaux ce ne fut, dans sa forme la plus vulgaire, que le fédérateur des aigris, des ratés et des envieux. Au final, le rêve du communiste : tuer le riche (bourgeois) et profiter de son pognon. Désolé si je résume à l’extrême l’idéologie marxiste, mais la vérité ne doit pas être très loin.

Bref, revenons au MRAP. Ses statuts furent déposés le 5 mai 1950 à la Préfecture de Police (JO du 2/6/50). Son premier président, André Blumel (avait fait changer son nom de Blum en Blumel – JO du 27/9/36) fut directeur du cabinet du Conseil, un certain Léon Blum. Nous sommes presque dans une touchante histoire de famille.
Ami de l’Union soviétique, président de France-URSS, il avait également appartenu à la Fédération sioniste de France et été responsable du Keren Keyemet le Israël.

Ses adjoints au MRAP se nommaient alors : Charles Paulant, Pierre-Roland Lévy, Maurice Grispan et Jacques Mestelmann. Non, non n’insistez pas, je ne ferai aucun commentaire…

A cette date, le MRAP s’établit au 6 boulevard Poissonnière à Paris, dans un immeuble déjà occupé, comme par hasard, par le Parti communiste et où se trouve également domiciliée la société éditrice de l’Humanité.

Aujourd’hui y réside l’agence centrale de publicité centralisant l’ensemble des annonces publiées dans la presse communiste.

Mais, on vous le dit, le MRAP n’a rien à voir avec le Parti communiste.

A suivre…

(l’essentiel des infos sont tirées du livre de Yann Moncomble : « Les professionnels de l’anti-racisme » aux éditions Faits et documents.

II - Le MRAP s’est donc toujours défendu d’être un rouage du parti communiste « français ». Soit, mais reconnaissons au moins que la quasi-totalité des membres qui fondèrent cette association étaient communistes notoires, crypto-communistes ou pour le moins, compagnons de route. Ajoutons-y quelques idiots utiles.

André Blumel, son premier président fut l’un des six signataires socialistes du Pacte d’Unité (avec les PC). Pierre Lyon-Caen, par ailleurs président de Cour de Cassation, était membre du PC . Son successeur, Pierre Paraf appartint à France-Pologne, au Mouvement pour la Paix, à l’Aral et au Secours Populaire Français, toutes organisations notoirement pro-communistes.

Le secrétariat général du MRAP fut assuré au début par Albert Lévy, qui adhèra au PC dès 1950. Il fut, pour être précis, membre de la section de Fontenay-aux-Roses.
Charles Palant fut candidat pour le PC, à l’occasion des législatives de 1956, dans la troisième circonscription de Paris.

Dans le Comité d’honneur de l’époque, on retrouve Claude Aveinne, Alfred Kastler, le franc-maçon H. Laugier, T. Monod, Vercors, Diomède Catroux et Pierre Cot, tous mondialistes convaincus et signataires de « l’appel des 13 ».

Egalement Robert Ballanger, Henri Alleg, Robert Merle, Georges Séguy et l’incontournable chanteur stalinien Jean Ferrat (né Jean Tenenbaum, il changea son patronyme en 1963 à l’occasion de son premier gala).

Pour quelle noble cause cette clique s’enflamma-t-elle la première fois ?

La première grande action politique du MRAP fut la création d’un Comité de défense des époux Rosenberg, condamnés à mort par les tribunaux américains pour espionnage et trahison au profit de l’URSS. Cette affaire fit couler beaucoup d’encre et mobilisa durablement la cinquième colonne marxiste dans le monde entier.

S’agissait-il d’une solidarité confessionnelle, puisque nous avons vu qu’une large majorité des fondateurs étaient israélites ? Ou s’agissait-il réellement d’une trahison avérée, contre l’Occident et au profit de l’Union soviétique ?

Sans doute les deux mon général, car il fallait sans doute beaucoup de perspicacité, à l’époque, pour distinguer les deux causes.

La deuxième grande action politique impulsée par le MRAP fut l’orchestration de l’appel de Stockolm, en faveur…de l’Union Soviétique…

Mais, on vous le dit, le MRAP n’est pas une émanation du Parti communiste…

A suivre…

III - Impliqué dans toutes le campagnes destinées à faire accroire aux Français qu’ils sont menacés par le danger raciste et antisémite, le MRAP reçut systématiquement et avec une régularité admirable, le soutien de dirigeants communistes. Cet appui se manifestait tantôt par des invitations dans toutes les manifestations communistes, de type fête de l’Humanité, tantôt par des déclarations bienveillantes d’élus communistes, tantôt encore par la présence dans ses congrès de dirigeants du PC »F ». En 1980, par exemple, l’apparatchik Gisèle Moreau, Jean Garcia du Comité central, David Wizemberg et Marcel Zaidner, également du Comité central, représentaient le PC, de façon tout à fait officielle, au congrès du MRAP, sur le thème : »Le racisme d’Etat ».

A chaque fois que l’on aurait pu agir utilement pour prévenir la situation quasi- insurrectionnelle actuelle, le MRAP, avec d’autres officines dont nous parlerons, s’est élevé pour empêcher toute mesure préventive, même minime ou toute mise en garde de bon sens. Le patriote devenait le raciste, le militant national un nazi. Seuls le cosmopolitisme et la destruction de l’identité française semblent avoir animé cette association, pendant toutes ces années.

Ce fut, par exemple, la demande d’abrogation de la pourtant bien timide loi Pasqua, en 1986, qui réalisait, selon le MRAP, « un amalgame entre terrorisme, immigration clandestine et immigré tout court ». En 2001, quinze ans après, nous mesurons les conséquences et l’ampleur de ces actions paralysantes qui nous ont fait tant de mal. Nous verrons plus loin que cette officine et quelques autres persistent dans cet acharnement destructeur qui ne peut donc être une conséquence malheureuse, mais bien un but inlassablement poursuivi.

Par ailleurs, il faut se souvenir de la mobilisation hystérique de cette officine et de ses concurrentes, à l’occasion des douteux attentats des années 80, tels l’attentat de la rue Copernic, Carpentras, Munich, Bologne, et les dizaines de provocations grossières que la classe politique, unanime pour une fois, attribua à l’extrême-droite, contre toute vraisemblance. Nous reviendrons sur ces attentats, non pour ressasser, mais parce qu’ils constituent des éléments essentiels dans la stratégie de mise à l’écart des forces nationales par les mondialistes de tous crins.

Le MRAP, tel un reptile venimeux, tente de paralyser sa victime en lui jetant à la face le seul tabou qui tienne encore, et plus que jamais : le racisme.

A suivre….

IV - N’empêche que, dans les années 50-60, pas une campagne inspirée par le PC »F » qui ne fut relayée par le MRAP.

Le MRAP s’emploie notamment à égarer l’opinion, derrière le rideau de fumée bien commode d’un soi-disant racisme pour dissimuler, à l’époque, les répressions atroces du stalinisme. Au plus fort de cette répression, que dénonce le MRAP ? Une prétendue renaissance en Europe et notamment en France, du nazisme. C’est simple, mais il fallait y penser.

Mais, et heureusement en l’occurrence, le camp des collabos, pas plus qu’un autre, n’est épargné par les divergences, les guerres intestines et les rivalités. Au sein du MRAP, deux camps s’affrontent durement entre eux : d’une part, les judéo-marxistes staliniens et d’autre part les judéo-marxistes qu’effraient l’antisémitisme du petit père des peuples. Pour les divergences entre bretons et auvergnats, vous repasserez.

Au motif de ces affrontements, André Blumel, président de l’époque démissionne en 1953, mais ne manque pas cependant de féliciter l’antisémite Staline de son appui à l’Etat d’Israël. Comprenne qui pourra, moi les querelles de famille, cela me fatigue.

Lui succéda en 1954, le communiste Léon LYON-CAEN, qui assurera la présidence jusqu’en 1962. Cet israélite communiste était par ailleurs président de l’Association internationale des Juristes Démocrates, courroie de transmission officielle du PC.

En 1963, l’israélite Pierre PARAF, par ailleurs membre du Comité central de la LDH (Ligue des Droits de l’Homme) et président des Amitiés France-Israël, lui succède.

A suivre…

V - On pourrait continuer à citer longtemps faits et personnages afin de prouver que le MRAP, s’il n’est pas stricto sensu une « filiale » du PC est pour le moins composé de communistes ou de compagnons de route dans une proportion qui ne peut être due au hasard.

Par exemple, en 1967, le secrétaire général de cette association, Albert Lévy était connu et qualifié de « dernier stalinien de Paris ». Titre sans doute un peu usurpé, car il y en avait beaucoup d’autres à cette époque.

Le vice-président, Charles Palant était adhérent du PC et René Paraf, président d’honneur, sans être membre du parti communiste eut un engagement dans un nombre considérable d’associations d’obédience communiste. Il consacra plusieurs livres à l’Etat d’Israël avant de prendre ses distances avec cette cause bien encombrante au MRAP.
Il faisait par ailleurs partie de la très mondialiste UNESCO. Sionisme communisme et mondialisme sont ici réunis dans l’engagement politico-philosophique d’un même homme. Un pareil spécimen devrait être conservé dans le formol, pour servir à l’édification des générations à venir.

Le MRAP, comme toute association, possède un organe de presse, la revue « Droit et liberté », titre utilisé depuis 1943 et cédé gracieusement par l’Union des juifs pour la résistance et l’entraide ‘UJRE).

Ce journal se fit une spécialité de la dénonciation de Le Pen, de l’extrême droite en général et de tout ce qui pourrait ressembler à la défense de notre identité nationale et de nos spécificités. Tout opposition au métissage, au multiculturalisme et au melting pot est fasciste par nature.

Le commerce du MRAP, c’est donc la démolition haineuse de l’homogénéité de notre peuple par l’utilisation constante de la calomnie, de l’amalgame, de la dénonciation hystérique et des procès incessants contre les authentiques résistants à l’invasion. Mais, tout commerce connaît une concurrence et le MRAP ne fait pas exception en la matière. Nous allons voir que la lutte au sein du camp collaborationniste fut et demeure âpre et que, même sur ce créneau, rien n’est jamais acquis…

A suivre…

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