Quand on voit le battage médiatique ahurissant de ces derniers jours, il faut avoir un peu de « bouteille » et de recul pour garder la tête froide et ne pas être dupe de cette fantastique manipulation de l’opinion.

Les commentaires, les interviews, les témoignages, les réflexions dont nous abreuve la « grande » presse sont un modèle de manipulation dont le but unique est de nuire au camp national. Jamais un courant ni un homme politique n’aura mobilisé autant de moyens et d’énergie et d’hostilité à son encontre.

Aucune des accusations portées contre le président du Front National ne repose sur un fondement sérieux.

Quel est donc le crime impardonnable de ce mouvement et de son fondateur ?

Ils proposent un avenir national pour notre pays, avec une défense de notre spécificité, de nos valeurs, d’une morale et donc le refus de la disparition de notre peuple dans le magma euro-mondialiste qui ruine nos peuples européens, dissout nos traditions et valeurs et dilue notre race.

C’est dire le poids de l’opposition aux fiers gaulois que nous tentons d’être.

Les minus qui défilent dans la rue, égarés par de mauvais bergers n’ont rien lu, ne savent rien du combat qui se joue pour la survie ou la disparition de notre peuple et de ses racines, n’ont aucune culture politique et se contentent de brailler quelques slogans de niveau CP.

Ils feraient mieux de méditer cela « …Mais là où intervient la duperie, c’est que le citoyen qui croit choisir en connaissance de cause et en toute liberté n’est en fait qu’induit dans son jugement par la présentation des faits ou des hommes, de façon plus ou moins tendancieuse. Il croit être libre alors qu’il n’est que programmé, formaté, dans un certain but. Tel est le rôle des média dans l’élaboration artificielle de l’opinion publique.

Or, qui tient les média ? L’argent, le gros argent, lui aussi mondialisé, cosmopolite, qui impose ses intérêts au travers des hommes et des partis politiques dont il fait la promotion. Ainsi qui tient l’argent tient les média qui tiennent le citoyen électeur en lui fabriquant ses réflexes conditionnées, imposant ses candidats fabriqués de toutes pièces, tel un Chevènement. Ce qu’Attali, dans son livre sur S. Warburg appelait « le pouvoir sur le pouvoir ».

C’est ainsi que la démocratie évolue fatalement en ploutocratie, ou gouvernement par l’argent ».

(extrait de l’article « Ploutocratie » de Philippe Ploncard d’Assac, paru dans le quotidien PRESENT du 1/3/02 page 2)

Au lieu de s’égosiller dans la rue en scandant des slogans du type « Le Pen nazi –zizi ou facho – chocho » les jeunes et les « Jeunes » feraient mieux de s’instruire et de lire pour mieux comprendre à quoi ils jouent et surtout à quoi on joue avec eux.

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