TRIBUNE LIBRE
Quelle supercherie !

Quelle supercherie. Ces jeunes qui tiennent les murs par ennui, squattent les halls et sillonnent lentement le centre ville. Et ces médias, ces socialistes bien pensants qui espèrent me faire croire que tout le problème réside dans un manque de structures socioculturelles, dans l’insalubrité, dans un racisme latent et primaire du français moyen sur lequel on rejette toute la faute ; parce que certains quartiers sont « défavorisés », que des familles entières sont parqués comme des bestiaux dans un 10m², et que lui se permet de travailler pour sa réussite sociale, sa propriété privée et sa famille ?

C’est tous les jours que je vois d’un autre œil ces jeunes qui tiennent les murs oui, mais qui tiennent toute la journée des emplacements clé dans le quartier pour veiller à ce que les trafics en tout genre, les recels de vol, la revente de drogue se fasse dans l’impunité la plus normale. Quand ma patrouille franchit dans un silence tuant leur territoire, qu’ils nous dévisagent d’un regard noir couvert d’une écharpe et d’une casquette, je sais que ces jeunes qui s’ennuient sont en fait en plein travail. Ils sifflent, interpellent leurs potes, se font des signes, se séparent, reviennent et ainsi de suite. On les retrouvera plus loin, dans une autre allée, après qu’ils nous aient bien hué, insulté et caillassé, nous représentant de l’ordre, de l’Etat.

Le quartier est plein de flux, cache un commerce invisible (parce qu’ils ne faut pas le voir) et ses négociants sont très bien préparés. Ils ont leur avant poste, leurs armes, leurs munitions dans des caves qu’ils se sont appropriés. En squattant vos halls, c’est vous qu’ils observent, retiennent vos heures de passages, de travail, écoutent parfois à vos portes. Ils disparaissent et dans la semaine qui suit vous êtes cambriolés, comme ils pillent vos boîtes aux lettres pour tout savoir sur vous. Et ces livreurs de pizzas qui observent votre meublé pour en rediscuter avec leurs potes. N’ayez pas peur de demander sa carte à un policier, il comprendra.

Quel problème cette insalubrité, qu’on laisse pourtant volontairement subsister, sinon comment leur donner une excuse pour leur mentalité, comment parvenir à créer des logements sociaux pour personnes insolvables qu’on recrute en masse aux frontières, qui ne parlent même pas français mais savent comment obtenir des prestations. Et sinon comment diriger les votes vers le social. Je ne suis pas raciste, mais j’estime avoir droit de réponse sur un « sale gaulois, ou un putain de français ». Et comme Cazenave : « l’immigration de masse est une conséquence et non une cause. »

Quel problème que ce qu’on appelle insécurité, que nos dirigeants bien habillés, se disputant leur actif et leur passif en secret, veulent gérer, détourner à leur profit et sûrement pas éradiquer. Les lois sont rétroactives, on les arrange, on soutient l’auteur plutôt que sa victime, parce qu’on étouffe sous les hurlements des droits de l’hommistes friqués, qui s’insurgent devant des terroristes vêtus d’orange, mais pas devant la détresse du français qui dort dans la rue. Pas encore, il faut sauver le monde, s’inquiéter de la dette du tiers monde, franciser tout le monde aux frontières, parce que tout le monde il est beau en France. Mes grands parents étaient italiens, ils se sont présentés en France les outils à la main, et non en tendant la main. Je veux bien aidé l’étranger à s’en sortir.

Quelle solution apporter quand la justice travaille contre vous. J’assiste à des procès sans la présence des mises en cause, qui ne s’excusent même pas auprès des victimes, et qui n’ont jamais de remords mais toujours droit à la parole médiatique. Quelles solutions quand on regarde les moyens : des foyers pour délinquants et criminels qui fuguent allègrement, disent eux même ne pas respecter leurs tuteurs, qu’ils préfèrent zoner en cité que d’être assisté (pour leur trafic bien sûr), cassent, fument du cannabis, boivent. Des écoutes psychologiques de 30 minutes où l’on entend que des propos haineux. En geôle, les racailles m’expliquent qu’ils connaissent la musique, qu’ils savent être attendrissant auprès du juge pour enfant, qu’ils savent que la justice est avec eux et que moi je ne suis rien qu’un larbin. Après lecture faite par moi même, je persiste et signe avant d’aller me coucher parce que là je me sens pas très optimiste pour l’avenir.

Le cosaque du Don.

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