Carnet de bord

Eh oui, il y a du nouveau, ici.  En effet, après avoir été harcelés à plusieurs reprises par parents et amis (surtout par la belle-soeur), nous avons décidés de continuer à noter nos aventures.

Nous avons redessiné le viel éditorial pour que le format reflète le nouveau look de SpyTelegraph et avons séparé la page par année car c’était devenu beaucoup trop long.

1997 . 1998 . 1999 . 2000


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Nous avons écrit cet article surtout pour nos parents et amis qui se demandent comment ça se passe un déménagement de Montréal à Toronto, du Québec à l’Ontario, du français à l’anglais, etc.

Le début
(N.d.Y.)  C’est vers le milieu de l’été 1997 que les événements qui conduiront à notre exil vers Toronto ont vraiment commencés.  En effet, Sylvie fit, à ce moment, une remarque innocente à une collègue qui l’appelait de Toronto, comme quoi elle était disponible si un poste s’ouvrait dans le département de celle-ci.  Bref, n’importe quoi pour sortir de la position sans avancement possible dans laquelle Sylvie se trouvait.  Une remarque innocente qui n’aurait pas été bien plus loin dans la plupart des cas, mais qui, pour nous, allait provoquer le début de l’Aventure Torontoise.


Voici une brève (sic) chronique de notre périple.


Juillet 1997
Une des bases de données que l’on utilise à l’ouvrage (Lotus Notes) fonctionne mal.  J’appelle donc Theresa, à Toronto, qui s’excuse; ils ont énormément d’ouvrage car le patron vient de donner sa démission.  Je lui dit, à la blague :  «Si vous avez besoin de quelqu’un pour remplir le poste, je suis disponible».  Puis, je me ravise :  «Non, toi tu prendras son poste et moi je prendrai le tien».  Theresa me demande si je serais vraiment disposée à venir travailler à Toronto et je lui réponds oui.  Pour sortir d’ici, oui!

Jeudi, 10 décembre 1997
Le téléphone sonne.  C’est Theresa qui m’avise qu’un poste est disponible.  Elle me donne des détails et m’avise qu’elle me donnera des nouvelles avant Noël.

(N.d.Y.)  Vous auriez dû voir la joie et l’excitation sur son visage.  Vous non plus vous n’auriez pas été capable de lui refuser, d’autant plus que j’essayais vainement de me partir en affaires et que je n’étais employé nulle part.

Lundi, 22 décembre 1997
Toujours pas de nouvelles de Toronto.  Puis, un e-mail :  Theresa me souhaite de Joyeuses Fêtes.  Elle s’en va en vacances et me contactera dans la Nouvelle Année.

Jeudi, 25 décembre 1997
Noël, l’occasion idéale pour annoncer la nouvelle à la famille.  Par contre, ce n’est pas un sujet facile à introduire subtilement dans la conversation...  Réaction :  scepticisme!


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