Comme à la grande époque des démocraties populaires soviétiques, l'ensemble des forces politiques, syndicales et médiatiques s'unissent pour "lutter contre le fascisme". Mais ce ne sont que la corporation des gens en place qui ne veulent pas perdre leurs privilèges.

Comme dans les démocraties populaires, les étudiants descendent "spontanément" dans la rue, alors qu'en réalité ils sont manipulés par des commissaires politiques.

Comme dans les démocraties populaires dans lesquelles il existait un "Parti des paysans" sensé représenter la fraction conservatrise de la population, le pouvoir actuel défend le leader d'une pseudo droite, alors que l'ancien communiste Chirac a toujours fait le jeu de la gauche et n'a jamais défendu des idées de droite.

Comme dans les démocraties populaires, tous ceux qui ont voté pour la résistance et la libération avec Jean-Marie Le Pen ne peuvent le dire sous peine de devenir immédiatemment des parias. Mais des clins d'oeil et des sourires reforment une fraternité invisible.

On pensait que les démocraties populaires avaient disparu en 1989, erreur, il en restait une, née en 1968 : la France.

Mais sa chute est proche et tous les patriotes doivent se réunir le 5 mai derrière Jean-Marie Le Pen.

Ensuite il faudra faire l'union aux йlections législatives entre le FN et le MNR pour ne pas gâcher les chances de victoire.

Le peuple pourra enfin prendre son destin en mains.

Vive la France ! Vive la République ! Vive la Liberté !

Un résistant

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