TRIBUNE LIBRE
Aux armes, citoyens ! La liberté nous appelle !

Soyons réalistes.

Récemment, un homme, atterré de voir sa propre fille sombrer peu à peu dans la folie à cause du viol dont elle avait été victime, impuissant devant le renoncement de la police et de la justice à faire la lumière sur l’affaire, horriblement torturé par l’imaginaire vision de son enfant devenant chaque jour un peu plus une sorte de loque humaine au psychisme terriblement perturbé, décide de faire justice. Que pouvait-il faire d’autre, cet homme, ce père, cet autre vous-même ? Rien. La puissance gouvernementale dans son ensemble, du Président de la République au dernier de ses représentants galonné ne fait rien, ne veut rien faire pour empêcher la multiplication des drames.

Plus récemment encore, un homme, un tout petit homme, de ceux qui n’intéressent les politiciens que lors des campagnes de pêche aux votes, de ceux que les guichetiers de commissariat accueillent en ricanant quand ils osent se plaindre, de ceux que la vie ne favorise jamais parce que nés ouvriers, ou paysans, un homme sans envergure, sans fortune, sans la faconde essentielle dans ce monde d’apparences, mais doté de la plus pure des qualités : celle d’être un père aimant, a été assommé, puis une fois à terre roué de coups mortels par un gang de canailles d’origine maghrébine. Le seul tort de cet homme tellement semblable à des millions d’autres a été de vouloir défendre son fils, racketté par des moins que rien, par de purs sauvages ne respectant ni Dieu, ni Maître, ni famille, ni parentèle.

Ce sont deux faits très marquants, épouvantables, débordants d’écœurement.

Bien sûr que tous, pour peu que nous soyons doués d’un restant de véritable humanité, pas de cette humanité de façade, de cette fausse compassion livresque de philosophe de gauche mal écrivant et partant mal compris, tous donc ne pouvons qu’exprimer notre solidarité envers le premier homme. Même si admettons que la loi du Talion ne saurait perdurer sans ternir la clarté d’une civilisation, nous devons bien finalement, aux vues de tous les crimes commis par les fauves étrangers et leurs émules autochtones, car il y en a malheureusement de plus en plus, admettre que pour un temps il n’y a pas d’autre solution que de faire « sa » justice, puisque l’appareil entretenu pour cela démissionne et même participe.

L’exécution sommaire du père de famille naïvement empreint de la certitude que la prévention et le dialogue étaient préférables à la force brutale, ne peut que nous conforter dans la certitude que oui, nous devons faire justice nous-même et appliquer une sorte de loi du Talion adaptée à notre époque.

Désormais, les jeunes filles sont violées, leurs frères aussi, tous deux subissent des humiliations intolérables de la part d’arabes et de noirs arrogants persuadés par une fausse religion d’être les véritables dominants du monde.

La fréquentation de l’école est devenue inutile, les cours étant occultés par le comportement des beurs et des nègres réfractaires à toute forme d’éducation.

C’est ça, le peuple français de demain, celui qui aura obtenu ses diplômes grâces à des notes portant sur la couleur de l’encre et sur la qualité du papier utilisés pour gribouiller quelques pauvretés indignes d’un trisomique aveugle, sourd et muet ?

Les forces de police ont perdu leur pouvoir dissuasif, leur pouvoir répressif est étouffé par la magistrature à forte teneur marxiste, partisane, dévouée aux « conseils » de la franc-maçonnerie qui ne se cache même plus d’exercer ses pressions sur les corps d’État. Les administrations, peu à peu noyautées par les étrangers assoiffées de conquêtes, ont atteint le point de non-retour : la plupart des responsables de service sont d’origine arabe, voire nègre dans certaines régions.

C’est à l’identique pour les services hospitaliers, dans lesquels d’anciens manieurs de machette sont devenus chirurgiens. Au rabais ? peut être pas, mais sectaires certainement du moment qu’ils adhère aux préceptes de l’islam, la grande responsable des maux du monde civilisé.

Partout, l’étranger maghrébin, l’étranger noir africain sème la misère, la honte, la peur, la désolation, soutenu par une certaine classe politique au nom de visées obscures et inavouées, sous le couvert d’un humanitarisme de pacotille cachant probablement une énorme merde de chat.

Il n’y a plus de professeur, il ne reste que des gens soumis à la loi du nouveau milieu, qu’ils soient philomarxistes ou non.
Aujourd’hui, il ne fait pas bon être une femme seule, ou un vieillard, car il est certain que tôt ou tard on sera victime d’une agression, de mépris pour le moins, de vol avec violence le plus souvent, voire de viol et même d’assassinat.

Il est évident que le refus des gouvernants de palier à cet état de fait est volontaire. Il est évident qu’un homme normalement constitué, doué de toute sa raison, ne peut admettre de laisser la gangrène s’installer dans un corps, il faut être animé par des intentions extrêmement graves et criminelles pour laisser le mal s’étendre à l’envi.

Cette gangrène, qui ronge-t-elle ?

Mais vous, moi, nous bien sûr ! Ceux qui tiennent le manche ne risquent rien, ou si peu, ils savent que pour eux, fortune faite, complicités acquises, il y aura toujours un coin de terre réservé, loin des menées fascistes des vermines islamistes et de leurs chiens rouges.

Penser qu’ils seront à leur tour victimes de leur comportement est une grossière erreur.

Ils savent bien qu’une peuplade de barbares incultes aura forcément besoin d’eux en permanence, pour leur technicité, pour leur maîtrise de la santé, pour leur expertise dans l’armement. Qu’on ne nous raconte pas que les envahisseurs s’instruisent dans nos écoles, c’est totalement faux . Leur présence dans les écoles a abaissé de façon catastrophique le niveau d’enseignement, et puis il suffit de voir ce que sont devenues les ex-colonies après notre départ, malgré l’instruction reçue par les populations indigènes pour comprendre que les meilleurs outils confiés à des primitifs ne restent que des objets inutiles entre les mains de primates.

Vous même, qui haussez les épaules, vous ne laissez pas votre voiture ouverte quand vous la posez sur un parc de stationnement, mais pourquoi donc? Pensez-vous que ce seront des gosses ordinaires qui pilleront son contenu ? Mais pourquoi avez-vous fait graver les vitres de cette belle voiture et pourquoi posséder un autoradio à secret, alors ? Et votre maison, votre appartement, ils restent ouverts quand vous partez ? non ?
Comment vous, lecteur incrédule, supportez-vous la promiscuité avec des hordes horribles, sales, tellement mal habillées et malodorantes que poser sur elles un seul regard jette un voile de nauséeuse honte indélébile sur la kyrielle de grands artistes, peintres et sculpteurs du passé ?

L’État a démissionné depuis longtemps devant les sauvages de banlieues. Une partie de la population a été intoxiquée par un discours sirupeux expliquant qu’il fallait « tolérer », « essayer de comprendre », « rechercher les causes », « excuser les fautes », « ne pas sombrer dans les travers d’idéaux sombres », etc. Intoxication mortelle dont les effets létaux commencent à se faire sentir.

En dessous, les organes d’État, malgré quelques réticences éparses, ont fini par sombrer dans le coma peuplé de rêves inculqués. Essayez, vous, blanc, Français de souche, d’être entendu au guichet d’une caisse d’allocations familiales. Vous comprendrez très vite que la priorité est données à ces grosses femelles enchiffonnées dégoulinantes de crasse, de suint et de mioches, accompagnées de leurs fainéants au nez crochu et au regard mauvais, petit moustache fine marquant l’appartenance à la caste et couteau à cran d’arrêt à portée de main.

Mais vous, triste citoyen, vous continuez à payer encore et encore, abreuvé, abruti de ce bavardage immonde des politiciens vous faisant croire « à la solidarité ». Vous pensez que vous payez pour entretenir les superstructures du pays, vous voyez votre argent reconvertit en hôpitaux, en écoles, en voies de communication. Vous faites erreur, totalement et complètement erreur, il suffit pour s’en convaincre d’écouter les revendications des médecins, des enseignants, des usagers. Toutes font état d’un grave manque de moyens, d’une vétusté incroyable, d’une paupérisation galopante. Alors, ou passe l’argent que vous croyez donner au titre de la solidarité si haut brandie par les kleptomanes qui nous ordonnent ?

Pas dans la police, elle crie assez fort son désarroi.

Pas dans les hôpitaux, il ne s’en construit quasiment plus et les équipements sont rarement renouvelés, mettant le pays à la traîne du progrès, en particulier en imagerie médicale.

Pas dans les écoles, les accidents à répétitions dans les collèges pourris, les grèves d’enseignants sont là pour témoigner de l’absence de subsides malgré les énormes budgets consacrés à l’éducation nationale.

Pas dans les équipements structurels routiers, les contraintes de plus en plus fermes témoignent de l’inadaptation du réseau routier aux besoins modernes.

Pas dans l’industrie, les manœuvres basses d’étatisation ou de privatisation, avec le cortège de plans sociaux concomitant sont là pour témoigner de l’absence d’argent injecté vers les véritables forces vives du pays. Seules quelques entreprises servant au masquage des trafics de fortunes sont alimentées par les caisses que nous remplissons.

Alors ?

Alors, l’État nous vole, l’État se moque de nous et puis nous abandonne. Le gouvernement socialiste, peu à peu depuis 1981, est devenu illégitime. Il l’est, parce qu’il ne représente qu’une petite fraction de la population, il n’y est d’ailleurs parvenu qu’après maints découpages, maintes combines électorales. Il l’est, parce qu’il refuse de mettre en oeuvre les mesure nécessaires à la sécurité du peuple et à la sauvegarde des individus. Il l’est, parce qu’il n’assume plus son rôle d’instructeur de base. Il l’est parce qu’il n’assure plus à chaque Français le droit à la santé. Il l’est pour bien d’autres raisons que le littérature, plus que moi, savent expliquer avec force détails.
En conséquence, il appartient à chacun de se prendre en main et d’éliminer sans regret les causes de cette terrible régression.
Œil pour œil, dent pour dent : pendant un temps il n’y a pas d’autre choix.

Une racaille, quelle qu’elle soit, perturbe un cours ? Qu’elle soit exclue définitivement.

Une vermine vol, saccage, vandalise ? Qu’on lui casse les mains ou les genoux.

Une ordure viole, tue ? Qu’on lui rende son billet en totalité, pas de monnaie pour ce genre d’achat.

Citoyen, prenez les armes ! Défendez-vous ! Petit à petit, des hommes ayant conscience d’avoir tout perdu en perdant leur âme oblitérée par la racaille islamo- mafieuse rouge agiront comme ce père vengeur. Vous ne serez pas seul.

Nous devons renverser ces gouvernants complices, épurer les rouges de la magistrature, réduire à néant les crapules franc-maçonnes, complices de l’ombre.

L’union fait la force, un soulèvement en masse restant improbable, agissez en secret,mais agissez.

Vous pensez peut être qu’il est trop tôt, que le moment n’est pas venu, qu’il ne viendra jamais ? Essayez de vérifier si cette impression ne vous serait pas par hasard inculquée par la propagande doucereuse que vous ingurgitez à longueur d’émissions de télévision, ou d’articles de presse, par hasard. Ouvrez les yeux, constatez, informez-vous auprès des sources libres.

Demain une élection truquée de plus vous est proposée. Truquée, parce qu’avec les combines malsaines des crapules gouvernantes une importante frange de la population ne pourra être représentée. Autrement dit, des millions de gens seront tenus pour quantité négligeable, voire abjecte. Vous pensez que c’est normal, vous là, qui militez à gauche ? Mais que diriez-vous si ces combines honteuses étaient dirigées contre les communistes, toutes tendances confondues ? vous crieriez vous aussi au scandale.

Camarades, nationalistes, humanistes vrais, refusez la domination de l‘esprit par une caste de plus en plus méprisante : prenez les armes, résistez !

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