TRIBUNE LIBRE
Si c'est ce qu'ils cherchent...

L'Islam. Comment parler de la racaille islamiste sans ressasser des lieux communs ?

Tous les pays du monde, y compris les pays islamistes eux-même d'ailleurs, ont des problèmes graves avec les islamistes. Ces religieux fanatiques n'apportent, à charge pour chacun de s'informer les yeux ouverts pour s'en convaincre, que ruine, désolation, meurtres, arriération, privations et cela où qu'ils vivent. A coté de ça, les juifs longtemps accusés d'avoir des rapports privilégiés avec l'argent, ont contribué par ce travers au développement du monde libre, à l'essor du monde industrialisé, et partant de là à la généralisation des libertés individuelles. D'où pour une bonne part leur mise à l'index par les apprentis dictateurs et par les maîtres en la matière.

Mon sujet n'est pas de défendre les juifs : qu'ils se débrouillent avec leurs propres problèmes, le premier d'entre eux étant évidemment de réduire la clique du traitre Arafat à néant. Ils sont assez grands et puissamment armés pour se prendre en charge.

Mon sujet est bien la France.

Lorsque j'étais enfant, rarent étaient les arabes dans la cour de l'école. Ceux-là étaient d'ailleurs bien intégrés, s'efforcant d'adopter une attitude considérée comme « normale », voussoyant professeurs et surveillants, partageant les activités des autres gamins sans imposer de chador ou de théorie prosélyte aux petits camarades.

Plus tard, à l'université, le ton avait changé. Phagocytée par les ressortissants du maghreb, l'université dont je parle, dirigée par des gauchistes depuis toujours, faisait le part belle à ces gens, aussi bien par l'adaptation des horaires permettant les prières publiques que par la mise à disposition de menus spécifiques au restaurant universitaire. La ville dans laquelle sévit la racaille dirigeant cette université, franc-maçonne à ne plus en pouvoir, a d'ailleurs construit aux frais du contribuable une superbe mosquée. Il est bon de noter qu'on y brûle des églises, que la synagogue a été pillée naguère, qu'on y massacre promptement nombre de véhicules automobiles chaque semaine et que certains quartiers sont totalement inaccessibles la nuit. Des affrontements entre asiatiques et arabes sont fréquents, le dernier s'étant terminé par une magistrale correction infligée à la racaille par les asiatiques, à coups de hache. Ici, comme ailleurs, la presse essentiellement gauchiste (La Montagne, le Populaire, l'Echo.) ainsi que la télévision (Station régionale de FR3) se tait, préférant cacher à la population la réalité de la situation. Les tensions entre la périphérie, engorgée d'arabe « intégrés » au point de perpétuer habillement et coutumes du pays d'origine, et le centre ville traditionnellement occupé par « les riches commerçants provocateurs » sont inimaginables. Le tribunal de grande instance est même présidé par Simone Gaboriaud, une traitresse maçonne présidente de l'association de soutien « aux gens du voyage », lesquels, à l'image des racailles malfaisantes de la banlieue dont ils sont souvent complices, se retrouvent dotés de toutes les vertus et ont bien sûr tous les droits, au point d'écoeurer les forces de polices rendues impuissantes à maintenir l'ordre et la Loi, pour cause.

Ici, pas vraiment de risque d'attentat majeur. Il n'y a en effet aucune industrie lourde, tout au plus quelques hectares de terrains occupés par des déchets radioactifs. C'est une région calme au demeurant, gauchisante depuis toujours, l'un des derniers bastions du socialisme sinistre. C'est un endroit où les évènements ne font aucun bruit. C'est aussi une plaque tournante du trafic de drogue, la capitale régionale a longtemps été à l'origine de rumeurs parlant de disparitions étranges de blanches. C'est la région du Président Chirac, l'une des plus pauvres du pays, raison essentielle du désintérêt des racailles qui n'ont finalement pas grand chose à y voler. Ici, l'on n'entend jamais parler de viols, de « tournantes », l'on ne cite jamais les rackets enfantins perpétués par la racaille maghrébine. Ici, comme ailleurs, les vigils sont bronzés, soigneusement sélectionnés par les chefs de meutes, imposés aux employeurs. Ici, comme ailleurs, les abrutis de la CGT sont soumis à la racaille, laquelle n'a pas trop d'effort à fournir compte tenu de l'éthylisme avancé des responsables syndicaux, en particulier du pire traître qu'il soit, Patrick Mansoit, collaborateur de l'occupant islamiste au dernier degré. Ici, comme ailleurs, les crétins endémiques bouffent du football à longueur de match, refont le monde au comptoir des troquets, applaudirent à l'instauration de l'impôt islamique RDS destiné à financer les associations islamomafieuses, ici comme ailleurs l'argent public est distribué à des associations d'inintérêt publique censées « intégrer les djeuuunz » en leur faisant enregistrer des disques de tam-tam, de rai-pue-la-misère, de rap-haineux-j'nik-ta-mère au nom du « contrat de ville » arboré bien haut par les complices socialistes gouvernant la région.

Et puis, pourquoi parler de ça ? Peut être parce que « ça fait du bien » de constater en vous lisant que l'on n'est pas seul à penser que le complot socialiste existe bel et bien, que l'occupant arabe a gagné la première bataille de sa guerre feutrée en envoyant ses boucs se reproduire « sur le terrain », manière de coloniser un pays civilisé afin de le piller, puis de le détruire.

Ou alors parce que transparaît doucement derrière ces constatations le fait que les dirigeants de la république islamiste de France, qui se moquent éperdument des quelques milliers de morts que peut faire le terrosisme, ne pensent qu'à leur confort, lequel passe par la sauvegarde d'un accès au robinet pétrolifère sur lequel les islamistes sont vautrés.

D'ailleurs, le peu d'empressement officiel à entamer de véritables travaux d'amélioration des piles à combustible, seul avenir substitutif raisonnable à la dictature pétrolière, semble bien démontrer la justesse de cette impression. Ceux-là n'ont-ils pas d'ailleurs commencé l'asservissement global en supprimant les exploitations de houille, puis d'uranium, sous le prétexte de mauvaise rentabilité ?

Que penser du black-out sur l'attentat islamiste amateur de Toulouse, que penser des lois scélérates interdisant d'émettre la moindre opinion défavorable vis-à-vis des islamistes, principalement s'ils sont arabes ? De quel droit un pays orgueilleux au point de se dire le pays des droits de l'Homme refuse-t-il à ses ressortissants le droit d'avoir des avis négatifs à l'encontre des islamistes arabes ? Il est vrai qu'un pays qui érige au rang d'Art la pédophilie enseignante , qui fait de l'homosexualité l'une des principales qualités des hommes politiques, un pays si bien protégé par ses barrières « «anti-radiations de Tchernobyl », un pays qui vend des armes et des bateaux de guerre aux arabes, un pays qui entraîne sur le site de Brest des pilotes de chasse irakiens au maniement des radars aéroportés, un pays qui exploite à fond la misère des régions négroïdes pétrolifères et diamantifères d'afrique ne peut accepter de laisser son méprisable peuple conserver une vision réaliste du monde qu'il conribue à façonner.

Si c'est ça, la France moderne, autant penser immédiatement à employer les armes de la racaille, autant choisir de la combattre sur son propre terrain, par le terrorisme lâche, par le viol de ses fumelles, par le racket, par le harcèlement de sa progéniture, par la destruction de ses biens. Encore que, ce comportement lui étant tellement naturelle, il serait probable qu'elle n'y verrait pas d'offense, seulement un état de fait normal.

Autant exécuter les avocats, magistrats, politiciens traîtres au peuple. Autant en finir avec le fumier rosâtre avant que la deliquescence ne soit totalement consommée. Autant réagir avant que Paris ne s'appelle Kaboul-sur-Seine.

L'islamiste fait la guerre traitreusement, comme le lui enseigne sa religion. Faisons la même chose, avec fourberie, sauvagerie, sans aucune retenue, et éradicons ce cancer sournois d'un pays qui il y a encore seulement 30 ans était un pays propre où il faisait bon vivre.

Si c'est ce qu'ils cherchent.

Commandant J.H.

Précédant

Sommaire

Suivant