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Original French text from:

 

VIE DE SAINTE CASSIENNE  DE CONSTANTINOPLE

 

http://racines.simplenet.com/ortho/vies/moniales/textes/cassienn.htm

 

 

 

Notre sainte mère Cassienne naquit à Constantinople avant l'an 805. Son père, un aristocrate, avait une place élevée à la cour

impériale. Cassienne reçut de ses parents une excellente éducation, non seulement dans la connaissance profonde mais aussi

dans l'étude des saintes Écritures. Depuis sa jeunesse, malgré son extrême beauté, elle désirait consacrer sa vie au Christ et à

l'Église, et songeait souvent à devenir moniale.

 

Le mariage de l'empereur Michel II l'Amorien (820-829) avec Thècle donna naissance à Théophile le futur iconoclaste. A la

mort de Thècle, l'empereur Michel déclencha une violente querelle quand il décida d'épouser une moniale, Euphrosyne. Ce

choix hautement irrégulier fut permis car Euphrosyne était le fruit du mariage malheureux de l'empereur Constantin VI

(780-797) et de Maria d'Amnia. Le père d'Euphrosyne haïssait son épouse Maria et la força à entrer au monastère afin de

pouvoir épouser Théodote, une de ses dames d'honneur. Cet acte fut dénoncé par les orthodoxes comme étant de la bigamie.

 

 

 

A la mort de Michel l'Amorien, Théophile lui succéda (829-842). Sa belle-mère Euphrosyne désirait lui trouver un bon parti

et organisa un «concours pour la future mariée», où elle rassembla les plus belles jeunes filles. Théophile limita le nombre des

concurrentes à six, et Cassienne était l'une d'elles. Pour le choix final, Euphrosyne souhaita que Théophile agisse selon une

coutume qui remontait aux temps anciens, à savoir qu'une pomme en or fût offerte à la future impératrice. Parmi toutes les

jeunes filles présentées, Théophile fut par-dessus tout impressionné par la beauté de Cassienne. Il était aussi au courant de sa

sagesse et de sa science. Il alla donc la voir et lui dit : «C'est par la femme qu'arriva la corruption» (se référant à la chute

d'Eve). Alors la très sage Cassienne, rougissant modestement, répondit à Théophile : «Mais c'est aussi de la femme que

provient ce qui est supérieur» (se référant à la Mère de Dieu qui enfanta Dieu dans la chair). Théophile resta bouche bée

devant la sagesse et l'audace de Cassienne, et se retira. Il s'approcha donc de la modeste Théodora et lui offrit la pomme

comme symbole de son choix.

 

Cassienne ne fut aucunement vexée d'avoir été éliminée, car elle n'avait aucun désir de devenir impératrice. Reconnaissant la

Providence de Dieu dans le rejet de Théophile, elle était maintenant libre de poursuivre la vie monastique et la science

spirituelle, comme épouse du Roi des rois. Elle quitta donc le palais, soulagée et pleine d'enthousiasme pour ses projets.

 

 

 

Cassienne renonça alors au monde et fonda un couvent à Xerolophos, la septième colline de la capitale. Elle prit l'habit

monacal et mena une vie ascétique et philosophique, plaisant à son Époux céleste. Cette dynamique fondatrice dirigea la

communauté des soeurs en réglant leur genre de vie et les offices divins au monastère.

 

Quand Théophile, redoutable ennemi de la vénération des icônes, choisit Théodora, il ne savait pas qu'elle vénérait les saintes

icônes. Théodora parvint pendant de longues années à cacher sa vénération des icônes, et enseigna même à ses cinq filles et à

son fils à les vénérer. Contrairement à Théodora, Cassienne avait de fortes convictions en faveur des icônes et elle les

confessait ouvertement.

 

Tôt dans sa vie, Cassienne prouva son dévouement pour la vénération des icônes. Elle résistait publiquement à la politique

impériale contre les saintes images. Lors de la défense des icônes, elle fut soumise à la persécution et fut une fois violemment

fouettée. Inébranlable, elle persistait à résister aux iconoclastes. Elle rendait souvent visite à des moines en prison et les

soutenait par ses lettres et ses dons. Elle exprimait aussi son opinion à propos de ceux qui manquaient de courage et de

responsabilité, et disait : «Je hais le silence quand c'est le temps de parler».

 

 

 

Pendant cette difficile période que traversait l'Église combattue, Cassienne, inspirée par Dieu, poursuivait ses divers travaux,

littéraires et musicaux. Ses travaux peuvent être trouvés sous les signatures de : «Cassienne», «Cassia la moniale», ou

«Ikasias». Saint Théodore le Studite (mémoire le 11 novembre) était impressionné par son savoir et son style littéraire, qu'il

trouvait rares en ces temps-là chez une si jeune personne. Comme un compositeur doué par Dieu, elle adaptait ses poèmes à

la musique qu'elle composait. L'abbesse Cassienne offrit un grand nombre de nouvelles hymnes pour les offices célébrés dans

son monastère.

 

Son chant ecclésiastique attira l'attention des pères de l'Église qui reconnurent son charisme unique. Elle fut encouragée à

composer des hymnes pour les différentes fêtes. Sa réputation était telle, qu'elle fut reconnue comme la seule

hymnographe-femme de distinction de l'Orthodoxie. Trente-trois hymnes authentiques attribuées à Cassienne se trouvent dans

les cycles liturgiques orthodoxes. La plus longue des hymnes qu'elle donna au monastère est son canon pour les défunts. Ce

morceau contient trente-deux strophes qui étaient chantées au cimetière du couvent pour les offices des défunts chaque

samedi.

 

Elle composa aussi des hymnes en l'honneur des saints des Ménées, comme saints Samonas, Gourias et Habib (11

novembre); pour ceux-ci, le doxastikon des vêpres, ton 2. Pour saints Eustrate, Auxence, Eugène, Mardaire et Oreste (13

décembre), les doxastikon des apostiches matitunaux, ton 4. Pour la nativité de saint Jean le Précurseur (24 juin), le

doxastikon des apostiches vespérales, ton 8, pour n'en citer que quelques-uns.

 

Pour la Nativité dans la chair de notre Seigneur Jésus Christ, Cassia composa cette hymne vespérale au ton 2 :

 

«Alors qu'Auguste régnait seul sur la terre, tous les royaumes des hommes touchèrent à leur fin; quand Tu devins homme de la

pure Vierge, tous les dieux de l'idolâtrie furent détruits. Les villes du monde passèrent sous une seule loi; et les nations crurent

à une Divinité souveraine. Les hommes étaient inscrits par le décret de César; et nous les fidèles, fûmes inscrits dans le Nom

de la Divinité, quand Toi notre Dieu, Tu Te fis homme. Grande est ta Miséricorde, gloire à Toi.»

 

On attribue aussi à l'abbesse et poétesse Cassienne les hirmi du canon des matines, chanté le jeudi saint, ton 6, qui commence

ainsi :

 

«Celui qui autrefois recouvrait le tyran pourchassant sous les vagues de la mer, est caché sous la terre par les enfants de ceux

qu'Il sauva autrefois. Mais comme les jeunes filles chantons le Seigneur car Il est grandement glorifié.»

 

La composition musicale la plus célèbre de la sainte dans le triode est le doxastikon idomèle des apostiches matitunaux du

Mercredi saint, connu aussi sous le nom de «Tropaire de Cassienne»; se basant sur la femme pécheresse de l'évangile (cf. Lc

7,37-50), Cassienne crée une symétrie entre la femme pécheresse et la chute d'Eve (cf Gn 5,8-11). Avec une sensibilité toute

féminine, Cassia la moniale embellit cette histoire bien connue. Cette hymne émouvante, sur le ton 8, est aussi chantée le soir

du mercredi saint :

 

«O Seigneur, la femme qui était tombée dans de nombreux péchés, percevant ta Divinité, devint porteuse de myrrhe; en

larmes elle T'apporta les huiles parfumées avant ta sépulture. "Malheur à moi, dit-elle, car la nuit m'est devenue une frénésie de

libertinage, un amour lugubre et sans lune. Reçois le flot de mes larmes, Toi qui formes les nuées avec l'eau de la mer.

Penche-Toi sur les soupirs de mon coeur, Toi qui courbes les cieux dans ton ineffable Condescendance. J'embrasserai tes

Pieds immaculés et les essuierai avec les cheveux de ma tête, ces Pieds au son desquels Eve se cacha par crainte quand elle

entendit tes pas l'après-midi dans le paradis. La multitude de mes péchés et l'abîme de tes jugements, qui peut les sonder, ô

mon Sauveur des âmes ? Ne me méprise pas, moi, ta servante, ô Toi dont la Miséricorde est infinie».

 

On raconte que l'abbesse Cassienne passa un après-midi dans le jardin à composer cette hymne. Quand elle eut fini d'écrire le

vers : «J'embrasserai tes Pieds immaculés et les essuierai avec les cheveux de ma tête», elle apprit que l'empereur Théophile

arrivait au monastère. Ne voulant pas le voir, dans sa hâte à se cacher, elle laissa là le papier et la plume. Entré dans le jardin,

Théophile trouva le poème inachevé et ajouta cette phrase : «ces Pieds au son desquels Eve se cacha par crainte quand elle

entendit tes pas l'après-midi dans le paradis.» Après le départ de Théophile, Cassienne sortit de sa cachette. Quand elle reprit

sa composition, elle découvrit la phrase écrite par Théophile; elle la conserva et compléta le reste du poème.

 

Nous voyons ainsi dans cette hymne que la femme pécheresse s'approcha du Christ avec amour, alors qu'Eve se cacha de Lui

par peur. Dans de nombreux sermons et hymnes, Eve la femme pécheresse archétype et la courtisane repentante apparaissent

ensemble. La passion et le désir de la première sont à éviter, alors que le repentir de la seconde est à imiter.

 

 

 

Sur son lit de mort en 842, l'empereur Théophile désigna à Théodora leur fils Michel III comme régnant. A la mort de

Théophile, la folie iconoclaste prit fin et l'impératrice Théodora restaura la vénération des icônes. Sur l'icône bien connue du

Dimanche de l'Orthodoxie commémorant la restauration des icônes, on peut voir le patriarche, l'impératrice Théodora et son

fils Michel, des évêques, des prêtres, des ascètes, des moines, et auprès d'eux sainte Cassienne tenant une icône, et

accompagnée d'une foule de moniales.

 

Un biographe a écrit :

 

«Cassienne ne vécut que pour Dieu seul jusqu'à la fin de sa vie». C'est ainsi que notre sainte mère Cassienne s'endormit dans

le Seigneur après avoir consacré sa vie au Christ et à l'Église, ornée de la perle de la virginité et des couronnes d'ascète, de

confesseur et d'hymnographe.

 

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LIFE OF HOLY CASSIENNE OF CONSTANTINOPLE

 

 

 

                                                             celebrated September 7

 

 

 

Our holy naquit mother Cassienne to Constantinople before the year 805. His father, an aristocrate, had

a high place to the imperial courtyard. Reçut Cassienne of its parents an education excellente, not only in

the deep knowledge but also in the study of the holy Writings. Since his youth, despite his extreme

beauty, she desireed to consecrate his life to Christ and to the church, and thought often to become

moniale.

 

The marriage of the II emperor Michel the (820-829 l'Amorien) with birth donna Thècle to Théophile

the iconoclaste future. To the death of Thècle, the déclencha emperor Michel a violente quarrels when it

décida to marry a moniale, Euphrosyne. This highly irregular choice was allowed for Euphrosyne was the

fruit of the unfortunate marriage of the Constantin VI (780-797 emperor) and of d'Amnia Maria. The

d'Euphrosyne father hated his Maria spouse and the força to enter to the monastère in order to be able

to marry Théodote, an of its honor ladies. This act was denounced by the orthodox ones as being

bigamie.

 

 

 

To the death of Michel the l'Amorien, Théophile him succéda (829-842). His Euphrosyne

beautiful-mother desireed to find him a left form and organisa a «competitions for the married future»,

where she most beautiful rassembla girls. Limita Théophile the number of the concurrentes to six, and

Cassienne was the one of them. For the final choice, souhaita Euphrosyne that Théophile acts according

to a custom that climbed back up to the old times, to know that an apple in now fût offered to the

impératrice future. Among all the girls presented, Théophile was over all impressed one by the beauty of

Cassienne. It was also to the current of his wisdom and of his science. It alla therefore to see it and

says for him: «THIS IS by the woman that qu'arriva the corruption» (referring itself to the d'Eve fall).

Then very wise Cassienne, reddening modestly, répondit to Théophile: «But this is also woman as

originates what is superior» (referring itself to the Mother of God that God enfanta in flesh). Resta mouth

bée Théophile in front of wisdom and the audacity of Cassienne, and itself retira. It s'approcha himself

therefore modest Théodora and offers him the apple as symbol of his choice.

 

Cassienne was not annoyed aucunement to have been eliminated, for she did not have no desire to

become impératrice. Recognizing the Providence of God in the rejection of Théophile, she was now free

to follow monastique life and the witty science, as marry King of kings. She quitta therefore the palace,

relieved and a lot of enthusiasm for its projects.

 

 

 

Renonça Cassienne then to the world and fonda a couvent to Xerolophos, the seventh hill of the

capitale. She prit the monacal dress and mena an ascétique life and philosophical, pleasing his celestial

Spouse. This dynamic dirigea founder the community of sisters while regulating their life kind and the

divine offices to the monastère.

 

When Théophile, fearsome enemy of the vénération of the icônes, chooses Théodora, it did not know

that she vénérait the holy icônes. Parvint Théodora during of long years to hide his vénération of the

icônes, and very enseigna to its five girls and to his son to the vénérer. Opposite to Théodora, Cassienne

had strong convictions in favor of the icônes and she confessed ouvertement for them.

 

Early in his life, prouva Cassienne his devotedness for the vénération of the icônes. She withstood public

to the political imperial one against the holy pictures. At the time of the defense of the icônes, she was

submitted to the persécution and was once violemment whipped. Inébranlable, she persisted to

withstand the iconoclastes. She returned often visit to moines in prison and the supported by its letters

and its gifts. She expressed also his opinion about those that lacked courage and of responsibility, and

said : «I hate the silence when this is the time to speak».

 

 

 

During this difficult period that crossed the fought church, Cassienne, inspired by God, followed its

various works, literary and musical. Its works can be found under the signatures of: «Cassienne»,

«Cassia the moniale», or «Ikasias». Holy Théodore Studite (memory November 11) was impressed by

his to know and his literary style, that it found rare in these times-there with a so young person. As a

compositeur gifted by God, she adapted its poems to the music that she composed. The Cassienne

L'abbesse offers a big number again hymns for the celebrated offices in his monastère.

 

His attira song ecclésiastique the attention of fathers church that reconnurent his unique charisme. She

was encouraged to compose hymns for the different parties. His reputation was such, that she was

recognized as the only distinction l'Orthodoxie hymnographe-woman. Thirty-three attributed authentic

hymns to Cassienne are located in the cycles orthodox liturgiques. The longest one of the hymns than she

donna to the monastère is his canon for the défunts. This piece contains thirty-two strophes that were

sung to the cemetery of the couvent for the offices of the each défunts Saturday.

 

She composa also of the hymns in honor of the saints of Ménées, as holy Samonas, Gourias and Habib

(11 November); for these, the doxastikon of the vêpres, your 2. For holy Eustrate, Auxence, Eugène,

Mardaire and Oreste (13 December), the doxastikon of the matitunaux apostiches, your 4. For the

nativité of holy John the Forerunner (24 June), the doxastikon of the vespérales apostiches, your 8, for

not some to quote that someone.

 

For the Nativité in the flesh of our Christ Lord Jésus, composa Cassia this vespérale hymn to the tone 2:

 

«While qu'Auguste reigned only on the earth, all the kingdoms of touchèrent men to them fine; when You

man devins of the pure Virgin, all the gods of the l'idolâtrie were destroyed. The cities of the passèrent

world under an only law; and the crurent nations to a sovereign Divinity. The men were registered by the

decree of César; and we the faithful, registered fûmes in the Name of the Divinity, when You our God,

You Yourself man fis. Big is your Mercy, glory to You.»

 

One attributes also to the l'abbesse and Cassienne poétesse the hirmi of the canon of the matines, sung

on thursdays holy, your 6, that begin thus:

 

«The one that formerly covered the pourchassant tyran under the waves of the sea, is hidden under the

earth by the children of those that it sauva formerly. But as the girls let us sing the Lord for It big is

glorifié.»

 

The musical composition the most famous one of the holy one in the triode is the idomèle doxastikon of

the matitunaux apostiches of on wednesdays holy, known also under the name of «Tropaire of

Cassienne»; basing itself on the pécheresse woman the gospel (cf. Lc 7,37-50), Cassienne creates a

symmetry between the woman pécheresse and the fall d'Eve (cf Gn 5,8-11). With a sensitiveness all

feminine, Cassia the moniale embellishes this very known history. This moving hymn, on the tone 8, also

is sung evenings of on wednesdays holy:

 

«Lord O, the woman that had fallen in many sinned ones, perceiving your Divinity, myrrhe porteuse

devint; in tears she T'apporta the oils for perfumed YOU before your sépulture. &Quot;Malheur to me,

does she say, for the night became for me a libertinage frenzy, a gloomy love and without moon. Receive

the wave of my tears, You that form the clouds with the water of the sea. Lean you on the sighs of my

heart, You that bend the skies in your Condescendance ineffable. I will kiss your immaculate Feet and

the essuierai with the hairs of my head, these Feet to the sound of which ones Eve itself cacha by feared

when she entendit your steps the l' afternoon in the paradise. The multitude of my sins and the abyss of

your judgements, that can probe them, O my Savior of souls? Not mistaken me, me, your serving, O

You of which the Mercy is infinite».

 

One relates that the passa l'abbesse Cassienne an afternoon in the garden to compose this hymn. When

she finished eut to write the towards: «I WILL KISS your immaculate Feet and the essuierai with the

hairs of my head», she apprit that the Théophile emperor arrived to the monastère. Not wanting to see it,

in his haste to hide itself, she laissa there the paper and the feather. Enter into the garden, trouva

Théophile the unfinished poem and ajouta this sentence: «these Feet to the sound of which ones Eve

itself cacha by feared when she entendit your steps the l' afternoon in the paradises.» After the departure

of Théophile, Cassienne goes out of his hiding place. When she reprit his composition, she discovers the

sentence written by Théophile; she the conserva and compléta remain it poem.

 

We see thus in this hymn that the pécheresse woman s'approcha itself Christ with love, while qu'Eve

itself cacha of Him by fear. In many sermons and hymns, Eve the archétype woman pécheresse and the

repentante courtisane appear together. The passion and the desire of the first one are to avoid, while the

repentir of the second is to imitate.

 

 

 

On his death bed in 842, the désigna Théophile emperor to Théodora their III Michel son as reigning.

To the death of Théophile, the madness iconoclaste fine prit and the restaura l'impératrice Théodora the

vénération of the icônes. On the very known l'icône of on sundays commémorant l'Orthodoxie the

restoration of the icônes, one can see the patriarche, the Théodora l'impératrice and his Michel son,

bishops, priests, ascètes, moines, and near of them holy Cassienne holding an icône, and accompanied

of a moniales crowd.

 

A biographe wrote:

 

«Cassienne not vécut that for only God even for the purpose of his life». This is as well as our holy

Cassienne mother goes to sleep in the Lord after to have consecrated his life to Christ and to the church,

decorated perle of the virginité and d'ascète crowns, of confesseur and of d'hymnographe.

 

http://racines.simplenet.com/ortho/vies/moniales/textes/cassienn.htm

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