VII.L'ORDRE DE MOUVEMENT ET LE MÉCANISME DE REMISE DES ORDRES
1. MOUVEMENT: Un espace ne peut être occupé que par une seule unité à la fois. Lors de chaque mouvement, toute grande puissance peut donner des ordres à toutes ses unités, à certaines ou à aucune de celles-ci.

Une unité ne peut recevoir qu'un seul ordre par période de mouvmeent: une armée peut recevoir des ordres de mouvement, de maintien sur place ou de support; ne flotte peut recevoir des ordres de mouvement, de maintien sur place, de support ou de convoi.

Une armée peut se mouvoir vers n'importe quelle province adjacente, à moins qu,elle n,entre en conclit avec une autre unité en vertu de la règle selon laquelle un espace ne peut être occupé que par une unité. Une flotte peut se mouvoir vers toute mer ou province cotière adjacente à sa position actuelle, à moins que ce mouvmeent ne crée un conflit avec une autre unité.

Quand une flotte est dans une province cotière, les navires qui la composent sont supposés être tout au long de la côte de cette province. La flotte peut se mouvoir vers une autre province côtière adjacente uniquement lorsque les deux provinces concernés sont adjacentes le long d'une côte, de manière à ce que les navires puissent suivre la côte jusqu'à la seconde province; par exemple, une flotte peut se mouvoir de Rome à Toscane ou de Rome à Naples, mais pas de Rome à venise parce ces deux provinces, quoiqu'adjacente et toutes deux côtières, ne sont adjacente qu'à l'intérieur des terres et non le long d'une côte.

Les unités ne peuvent pas entrer dans les îles, sauf en Angleterre, ni en suisse, ni dans les territoires ou mers qui ne sont aps spécifiquement nommés sur la carte.

2. ATTAQUE: Un ordre de mouvement, correctement donné, sera parfois appelé, dans les présentes règles, une attaque contre l'espace vers lequel l'ordre de mouvement a été donné.

3. MOUVMENETS DANS CERTAINES RÉGIONS PARTICULIÈRES DE LA CARTE:
a. KIEL ET CONSTANTINOPLEL: À cause desvoies maritimes traversant ces deux provinces, les flottes peuvent entrer par une côte et, à un mouvement suivant, sortir par l'autre côte. Les armées peuvent également entrer et sortir de ces provinces en traversant librement ces voies maritimes. Il faut noter que cela ne signifie pas que les unités peuvent sauter au-dessus de ces espaces.

b. PROVINCES À DEUX CÔTES (Bulgarie, Espagne et St-Petersbourg): Une flotte pénétrant dans une de ces provinces entre par une côte, et, lors d'un mouvmenent suivant, ne peut se mouvoir que vers une space adjacent à cette côte; elle n,en occupe pas moins toute la province. Si une flotte reçoit un ordre de mouvement vers une de ces provinces, et qu'il lui est possible de se mouvoir vers les deux côtes, l'ordre doit spécifié de qu,elle côte il s'agit, sinon la flotte ne se déplace pas.

Une flotte qui peut se mouvoir vers l'une de ces provinces peut ¨supporter¨ une actio dans cette province (voir IX, L'ORDRE DE SUPPORT) sans tenir compte de la séparation des côtes. Donc, puisqu'une flotte à Marseilles peut se mouvoir vers l'Espagne, bien qu,elle ne puisse le faire que vers la côte sud, elle peut néanmoins supporter une action n'importe où en Espagne, même si cette action est un ordre à une flotte de se mouvoir vers ou d'occuper* la côte nord de l'Espagne.

Il doit être clair que le contraire n'est pas vraiL une flotte sur la côte nord de l'espagne ne peut supporter une action à ou vers Marseilles, car elle ne peut se mouvoir vers celle-ci en un tour.

c. SUÈDE ET DANEMARK: Une armée ou une flotte peut passer directement de Suède au Danemark, ou vice-versa. Une flotte passant de la mer baltique au Skagerrack ou vice versa doit passer par la suède ou le Danemark. La frontière suède/danemark ne sépare pas la côte suédoise en deux. Le Danemark n,a pas de frontière commune avec Berlin.

4.MECHANISME DE REMISE DES ORDRES: Chaque joueur écrit ses ordres, d'habitude en les gardant secrets,et ces ordres aux flottes et aux armées sont rendus publics en même temps . les modérateur inscrira les ordres sur le guestbook et si cé pas ce qu'il lui a été envoyé (notez qu'aucune correction n'est permise, le premier envoie c'est le bon) hé bien on le lapide. Un ordre illégal n,est pas suivi, et l'unité en question reste en place. Un ordre erroné mais légal est suivie. Un ordre qui admet plusieurs interprétations n'est pas suivi. Un ordre mal écrit, mais ne pouvant cepandant avoir plusieurs significations est suivi.
5 (modérateur, voir 4)
6. LES DATES: Les ordres pour le premier mouvement sont datés ¨printemps 1901¨, pour le second ¨automne 1901¨; pour le troisième ¨printemps 1902¨; ect...

7. PRÉSENTATION DES ORDRES: Dans chaque série d'ordres, il convient d'écrire d'abord le nom de l'unité et de l'espace qu,elle occupe, puis l'ordre donné. Il est utle de faire une liste de ses unités et des espaces qu'elles occupent, qui servira de référence dans les entretiens, et d'inscrire ensuite les ordres sur la même liste.

VIII. LES CONFLITS

Si deux ou plusieurs unités reçoivent l'ordre de se mouvoir vers un même espace, aucune de celles-ci ne peuvent se mouvoir. Si une unité ne reçoit pas l,ordre de se mouvoir ou ne peut le faire, et que d'autres unités reçoivent l'ordre de se mouvoir vers l'espace qu,elle occupe, ces autres unités ne peuvent se mouvoir. Si deux unités reçoivent chacune l'ordre de se mouvoir vers un endroit occupé par l'autre, aucune ne se meut. De telles situations sont appellés des stand-offs. Comme les autres règles gouvernant les conflits, s,appliquent aussi bien aux armées qu,aux flottes, qui sont de force essentiellement égales, et ne diffèrent que par la nature des espaces qumelles peuvent occuper. Ces règles s'appliquent également (sauf pour 2 exceptions mineures notées en IX.3 et en IX.6) que les unités concernés soient des unités d'une même grande puissance ou de puissances différentes.

IX. L'ORDRE DE SUPPORT

1.COMMENT DONNER UN ORDRE DE SUPPORT: Une unité peut abandonner son droit à se mouvoir pour supporter une autre unité essayant de se mouvoir ou de rester en place dans un espace donné. cet espace doit être un de ceux vers lesquels l'unité aurait pu se mouvoir si elle n,entrait pas en conflit avec d'autre unités; c'est à dire que l,espace qui est la destination de l,action à supporter doit être adjacent à l'espace occupé par l'unité qui supporte, et doit convenir au type de l'unité. Pour ordonner un support, il est nécessaire d'écrire la nature et l,emplacement de l'unité qui doit supporter, le mot¨supporte¨ ou son équivalent, ainsi que l,emplacement et la destination de l'unité recevant le support. les flottes peuvent supportés des armées ou vice-versa; mais comme indiqué ci-dessus, une flotte ne peut supporter dans ou vers une province à l'intérieur des terres, ou dans une province côtière non-adjacente le long de la même côte, et une armée ne peut supporter dans ou vers une mer, car elle ne pourrait se mouvoir vers celle-ci, même sans opposition.

2. L'EFFET DU SUPPORT: Une unité se meut avec sa force propre et celle de toute unité qui la supporte. À moins qu'elle n,entre en conflit avec une unité aussi bien ou mieu supportée, elle peut effectuer son mouvement sans tenir compte des règles de paragraphe VIII. Des unités également supportés entrant en conflit selon les règles du paragraphe VIII suivent les règles de ce paragraphe. Une unité qui, autrement, serait restée dans un espace attaqué par une unité meiux supporté doit effectuer une retraite ou être retirer du jeu. le joueur peut décider de retirer sa pièce, même si un espace être disponible pour assurer la retraite.

3. INTERDICTION DE SE DÉLOGÉ SOI-MÊME:  Une des excpetions mentionnées au paragraphe VIII est qu'un ordre de se mouvoir vers un espace occupé par une autre unité du même pays ne peut réussir lorsque cette seconde unité ne quitte pas l'espace en question. Lordre resterait valable quand à ses autres effets. de même un ordre d'un pays qui supporterait une attaque d'un autre pays contre un espace occupé par une unité du premier pays ne permet pas un mouvement délogeant cette dernière unité, mais reste valable quand à ses autres effets.

4. CRÉER UN STAND-OFF AVEC DEUX DE SES PROPRES UNITÉS: Alors qu'un pays ne peut déloger une de ses propres unités, il peut se contrer lui-même en ordonnant deux attaques également supportés vers le même espace. cepandant si l'une des deux attaques est mieux supportés que l'autre, elle réussit.

5. LA GARNISON ASSIÉGÉE: Comme le délogmeent n'a lieu que si une autre pièce pénètre dans l'espace en question, ainsi qu'indiqué en IX.2, il s'ensuit que si deux attaques également supportés ont lieu vers un même espace et se contiennent l'une l,autre, une unité se trouvant déjà dans l'espace attaqué n'est pas délogée.

6.SE MAINTENIR EN PLACE EN RECEVANT UN SUPPORT: Une unité n'ayant pas reçu d'ordre de mouvement,(soit l'ordre de resté H, de convoyer, de supporter ou n'ayant pas reçu d'ordre du tout), peut être supporté pour son maintien. Une unité ayant reçu l'ordre de se mouvoir ne peut recevoir de support que pour le mouvmeent qu,elle essaye. Elle ne peut donc pas être supportée sur place pour le cas ou elle échouerait. Une unité ne doit aps nécessairement être dans un espace adjacent à celui de l'unité supporté, mais bien dans une space adjacent vers celui où elle veut supporté. Elle doit bien sûr être capable de s,y mouvoir sans tenir compte des conflits éventuels. le support ne peut être transporter par convoi. Un joueur ne peut pas, par une attaque, couper le support à une de ses propres unités. (voir paragraphe X, COUPER LE SUPPORT).

7.DÉLOGEMENT D'UNE UNITÉ PARTICIPANT À UN STAND-OFF: Il découle des règles précédentes que, si deux unités (ou plus) également supportés reçoivent l'ordre de se mouvoir vers un même espace, aucune ne peut le faire, même si l'une d'elle est délogée lors du même mouvmeent par une attaque supporté. Cependant, si deux unités reçoivent l'ordre de se mouvoir vers le même espace, et que l'une d,elle est dékogée par une unité venant de cet espace, l'autre unité peut se mouvoir.

X.COUPER LE SUPPORT
Si une unité à qui on a donné un ordre de support est attaquée depuis une espace différent de celui vers lequel elle doit supporter, ou si elle est délogé par une attaque venant d'un espace quelconque (y compris celui vers lequel elle doit supporte), son support est coupé. L'Unité qui aurait dû le recevoir ne le reçoit donc pas.
exemple 10:
ALLEMAGNE: A Ber (H), A Mun-Sil
RUSSIE: A Pru-Ber, A Sil (S) A Pru-Ber; A Boh-Mun; A Tyr (S) A Boh-Mun.
Notez ici que L,armée allemande de Munich a été délogée par une attaque russe, mais qu'elle est néamoins capable de couper le support de l'armée russe de Silésie, et d'empêcher en conséquence l'armée russe de Prusse d'entrer à Berlin.

XI. LES RETRAITES
Lorsque tous les ordres ont étés lus, les conflits résolus et les mouvements faits, toute unité délogée doit faire retraite. Elle doit se retirer vers un espace vers lequel elle aurait pu se mouvoir s'il n'y avait pas de conflits, c'est à dire vers un espace adjacent convenant à sa nature (flotte ou armée). L'unité ne peut cepandant pas faire retraite vers un espace occupé, ni dans l'espace d'où est venue son attaquant, ni dans un espace resté vide suite à un stand off. Si une unité ne dispose pas d'espace où faire retraite, elle est retirée du jeu. Le joueur peut décider de la retirer même s'il peut faire une retraite.

1.ÉCRITURE DES RETRAITES: Si une ou plusieurs unités doivent effectués une retraite après un mouvement, les retraites sont immédiatements écrites par les joueurs conçernés, sans période de diplomatie, et lues publiquement comme les ordres de mouvements.
2.AUTRES RÈGLES CONCERNANT LES RETRAITES: Un joueur peut choisir de retirer une unité du jeu plutôt que de lui faire effectuer une retraite. Si deux ou plusieurs unités ne peuvent effectuer une retraite que dans un même espace, elles sont toutes retirées du jeu, à moins qu'une seule d'entre elles ne reçoive l'ordre d'effectuer une retraite et que les autres reçoivent l'ordre d'être retirées du jeu. Dans ce cas, l'unité ayant reçu l'ordre de retraite peut l,effectuer. Si deux ou plusieurs unités reçoivent l'ordre de se retirée vers un même espace, elles sont toute retirées du jeu. Si un joueur néglige de donné un ordre de retraite quand c'est nécessaire, l'unité concernée est retirée du jeu. Les retraites ne peuvent pas s'effectués par convoi, ni être supportés.

XII.L'ORDRE DE CONVOI
1.CONVOI D'UNE ARMÉE À TRAVERS UNE MER: Une flotte occupant une mer peut convoyé une armée occupant une province côtière adjacente à cette mer. Pour cela, l'armée doit reçevoir l'ordre de se mouvoir vers la province désirée, et la flotte l'ordre de la convoyer. La lettre ¨C¨ peut être utilisée pour signifier ¨convoye¨. L'ordre donné à la flotte doit mentioné et l'espace de départ et la destination de l'armée à convoyer. Les deux ordres (à la flotte et à l'armée) doivent donner la même destination pour l'armée, sinon celle-ci ne bouge pas. Ainsi: A Lon-Bel, F Nth (C) A Lon-Bel. Des armées étrangères peuvent être convoyés, pour plus de clarté, le joueur indiquera la nationalité de l'armée à convoyer, comme FRANCE: F Nth (C) Angleterre A Lon-Bel.

Une flotte ne peut convoyer plus d'une armée par mouvement.

2.CONVOI D'UNE ARMÉE À TRAVERS PLUSIEURS MERS: Si  deux ou plusieurs flotte contrôles des mers adjacentes, une armée peut traversé toutes ces mers en un seul mouvement. Ainsi, Angleterre: A Lon-Tun; F Eng (C) A Lon-Tun; F Mao (C) A Lon-Tun. FRANCE: F Wme (C) Angleterre A Lon-Tun.

3. INTERRUPTION D'UN CONVOI: Si une flotte ayant reçu un ordre de convoi est délogée durant ce mouvement, l'armée qui aurait dû être convoyée reste dans sa province de départ, et n'a aucun effet sur sa province de destination. Une attaque contre une flotte d'un convoie qui n'arrive pas à la déloger n'affecte pas le convoi.

4. ORDRES AMBIGUS DE CONVOIS: Si les ordres tels qu'ils sont écrits permettent plus d'une route entre le point de départ et le point d'arrivée de l'armée, l'ordre reste valable malgré cette ambiguïté. Mais si l'une quelconque des routes possibles est détruite par le délogement d'une flotte, l'armée ne peut aps se mouvoir.

5. UNE ARMÉE CONVOYÉE NE PROTÈGE PAS LES FLOTTES DU CONVOI: Si une armée convoyée attaque une flotte qui supporte une flotte qui attaque une flotte du convoi, ce support n'est pas coupé.

XIII. GAIN ET PERTE D'UNITÉS

1.OCCUPATION DES CENTRES DE RAVITAILLEMENT: L'occupation des centres de ravitaillement par une grande puissance est acquise lorsqu'une unité occupe le centre à la fin d'un mouvmeent d'automne complet (y compris les retraites). Une fois que l'occupation a été établie, le centre peut être laissé vide et la puissance occupante peut continuer à entretenir une unité sur le compte de ce centre tant qu'il n'est pas occupé par une autre grande puissance à la find 'un mouvement d'automne. Notez bien que l'occupation d'un centre devient effective qu'à la fin d'un mouvmeent d'automne;, une unité pénétrant dans un centre de ravitaillement lors d'un mouvement de printemps, et le quittant en automne de la même année n'affecte en rien l'appartenance de ce centre. le propriétaire garde l'occupation du centre aussi longtemps qu'à la fin de chaque mouvement d'automne (retraites comprises) ce centre est soit vide, soit occupé par une de ses propres unités.

2.CONSTRUCTION ET RETRAIT D'UNITÉS: Lorsque chaque mouvement d,automne est terminé, et que les retraites éventuelles ont étés effectués, le nombre d'unités que chaque joueur possède doit être rendu égal au nombre de centre de ravitaillement qu'il contrôle. S'il a moins de centre que d'unités, il doit retiré les unités en excès. Il est libre de choisir les unités à retirer. S'il a plus de centres que d'unités, il peut construire de nouvelles unités, en les plaçants chacune sur un centre de ravitaillement situé à l'intérieur de ses propres frontières, et pourvu que ses centres soient toujours sous son contrôle. S'il utilise un centre situé dans une province côtière, il doit préçiser s'il construit une flotte ou une armée. Si la russie construit une flotte à St-Petersbourg, elle doit spécifié si celle-ci est construite sur la côte nord ou la côte sud. Si les centres propres (c,est à dire à l'intérieur de ses frontières) d'une grande puisance sont tous occupés par ses propres unités, ou appartiennent à d'autre joueurs, la grande puissance en question doit attendre une saison d'automne après laquelle cette situation sera corrigée avant de construire toute unité à laquelle il pourrait avoir droit à ce moment. cepandant, en occupant de nouveaux centres, à défaut de construire, il peut réduire la force des autres joueurs. Il doit découler clairement de ce qui précède que si un joueur a perdu tous ses propres centres de ravitaillements, il peut continuer à combattre avec les unités et centres qui lui restent, mais qu'il ne peut gagner de nouvelles unités avant d"avoir reconquis un de ses propre centre et de l,avoir laissé vacant à la fin du mouvement d'automne. Comme pour les retraites, les constructions et les retraits sont écrits et lus tous en même temps, sans période préalable de diplomatie.

DÉSORDRE CIVIL: Si un joueur ou ne soumet pas d'ordres pour une saison, on suppose que le gouvernement de son pays s,est effondré. Ses unités se maintiennent sur place, mais ne se supportent pas l'une l'autre. Si elles sont délogés, elles sont retirés du jeu. ce pays ne construit aucune nouvelle unité. Un joueur qui a temporairement quitter la partie peut reprendre le jeu s'il revient et qu'il lui reste des unités. On peut aussi le remplaçer par un autre joueur, soit éliminer, ou seulement un no-name qui spectate tranquillement.

RETRAIT DES UNITÉS D'UN PAYS EN DÉSORDRE CIVIL: Si un pays en désordre civil doit retiré des unités parce qu'il a perdu des centres de ravitaillement, l'unité la plus distante du territoire national est retiré dabord. S'il y a égalité de distance, on retire la flotte avant l'armée, si l'égalité persiste, on tient compte du nom de chaque espace, l'unité occupant le premier espace par ordre alphabétique étnt retirée en premier lieu.