Une rencontre de haut niveau qui s’est tenue à Havane, dont pris part des délégations de plus de 120 pays-membres du “ Groupe 77 et de Chine (dont 42 pays répresentés pâr leur chef d’Etat et du Gouvernement), a constitué un appel sérieux à une consolidation des Etats de l’Amérique Latine, d’Asie et d’Afrique en reponse aux défis lancé par la globalisation et a été une tentative de trouver sa propre niche à l’époque de la formation du monde multipôle.

Malgrès des intérêts et des positions tres larges manifesté par les participants du Forum, une echange de vues principale sérieux et constructif a surtout concerné des thèmes qui inquiétent “ le tiers monde ”. La Déclaration et le Programme d’actions ont été adoptés par la majorité écrasante du membres de “ Groupe 77 ”. Malgrès la critique dirgigé contre le Nord, surtout en ce qui concerne des problemes de la dette extérieure et des “ interventions humanitaires ”, le sommet a mis l’accent sur la recherche active des formes de collaboration “ Nord-Sud ” en 21ème sciècle principalement nouvelles.

Une preuve de cela a été un ordre donné au chef du “ Groupe 77 ” d’informer le Sommet prochain de “ 8 ” sur des résultats de la rencontre de Havane, d’assurer la participation des répresentants du Sud aux forums du Nord, surtout au moment des prises des décisions qui concernent “ tiers monde ”.

La création du Comité de coordination afin de contrôler la réalisation des résolutions adoptées à Havane, ainsi qu’une décision sur le renforcement de l’interaction dans la direction “ Sud-Sud ”, et de la tenue en 2005 du Sommet avec les mêmes participants expriment l’aspiration des membres du forum de rendre durable et régulière la coopération afin de lui donner une forme nouvelle.

Il est remarquable que la discussion sur des voies d’interaction entre des pays du “ tiers monde ” a été profondement lié avec celle sur la réforme de l’Organisation des Nations Unies et de son Conseil de Sécurité. Le sommet a fixé avec une évidence une aspiration de ses participants aux objectifs du Réglèment de l’Organisation des Nations Unies et aux principes du droit international, avant tout, le respect de la souverainété, d’une égalité entre des Etats, de l’intégrité territorialeet dela non-intervention dans les affaires intérieures des pays.

On peut dire que ce Forum du Sud a constitué un évenement remarquable et symbolique de la vie internationale.Il a demontré une aspiration ferme du monde des pyas en voie du développement d’avancer dans la défense des leurs intérêts politiques te économiques, ainsi que son intention croissante de surmonter des divergences et des contradiction objectives au nom d’une pércée pragmatique sur les directions d’intérêts principales.

Cuba a joué un rôle important dans la préparation et la mise en place du forum. Son autorité auprès des Etats de l’Amérique Latine, d’Asie et d’Afrique a vu se confirmer dans un appel adressé au gouvernement des Etats-Unis et approuvé par tous les participants, réclamant de levet immédiatement le blocus de l’ile.

M.V.Poutin, Président de la Russie par intérim a envoyé un mot de salut aux participants du sommet.

La délégation russe a participé au forme en qualité d’une invité. Elle a été dirigée par M. Ordgonikidze, adjoint du ministre des Affaires étrangères de la Russie.

Nous somme solidaire avec des participants du forum en ce qui concerne une aspiration aux princpes de base du droit international et au renforcement du rôle dirigenat de l’Organisation des Nations Unies afin d’assurer la paix international et la sécuritéNos positions sont proches et même des fois identiques avec des opinions des participants du formu en ce qui concerne la résolution des problèmes prinicpaux du déarmement et de la stabilité tratégique, ce qui crée un fond favorable pour faire accroître une interaction entre la Russie et les pays en voie du développement.

Le 19 avril 2000